Korhogo – Le président régional de la jeunesse du RDR dans la cité du Poro, Coulibaly Ibrahim a dénoncé la non implication des jeunes dans la mise en œuvre des projets qui leur sont destinés, souhaitant en outre qu'ils soient désormais associés à leur élaboration.
Intervenant lors de l’atelier sur la journée d’information et de sensibilisation des jeunes sur les opportunités de création d’emplois et leurs modes de financement, le président de la jeunesse du RDR à Korhogo a déploré la multitude d’ateliers sur l’emploi des jeunes qui sont sans suite.
"On a mille ateliers (...), mais il n’y a jamais de suite", a-t-il déclaré, notant que ceux qui élaborent ces projets et donnent les fonds ne connaissent pas les problèmes de la jeunesse. Pour lui, les conditionnalités pour accéder à l’emploi jeune sont excessives, car les jeunes n’ont pas les moyens.
Le représentant du préfet de la région du Poro, Kouadio Kouassi a, pour sa part, exhorté les jeunes à ne pas se décourager car, dit-il, lorsque l’on est en quête d’un emploi, on ne doit pas céder au découragement. Il a donc souhaité que les jeunes s’approchent des structures d’interface, pour qu’ils soient aidés à gérer ce qui leur paraît comme des difficultés.
(AIP)
apk/kkp/cmas
Intervenant lors de l’atelier sur la journée d’information et de sensibilisation des jeunes sur les opportunités de création d’emplois et leurs modes de financement, le président de la jeunesse du RDR à Korhogo a déploré la multitude d’ateliers sur l’emploi des jeunes qui sont sans suite.
"On a mille ateliers (...), mais il n’y a jamais de suite", a-t-il déclaré, notant que ceux qui élaborent ces projets et donnent les fonds ne connaissent pas les problèmes de la jeunesse. Pour lui, les conditionnalités pour accéder à l’emploi jeune sont excessives, car les jeunes n’ont pas les moyens.
Le représentant du préfet de la région du Poro, Kouadio Kouassi a, pour sa part, exhorté les jeunes à ne pas se décourager car, dit-il, lorsque l’on est en quête d’un emploi, on ne doit pas céder au découragement. Il a donc souhaité que les jeunes s’approchent des structures d’interface, pour qu’ils soient aidés à gérer ce qui leur paraît comme des difficultés.
(AIP)
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