Abidjan - Le Conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, le 13 novembre, une prise de participation de 25 millions de dollars EU au capital du Fonds africain de l’énergie renouvelable (FAER) et confirmé la mobilisation de 39,5 millions de dollars EU auprès d’autres bailleurs.
Selon un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO), le FAER est un fonds de capital-investissement, qui investit dans des projets d’énergie renouvelable (d’envergure modeste et moyenne) en Afrique subsaharienne (à l’exclusion de l’Afrique du Sud), et vise une capitalisation totale de 150 à 200 millions de dollars EU.
Les ressources annuelles nécessaires à l’adaptation au changement climatique et à la mise en œuvre de solutions à faibles émissions de carbone en Afrique atteindraient, selon les estimations, entre 22 et 31 milliards de dollars EU d’ici à 2015. « Or, s’il y a un besoin urgent de fonds d’investissements dédiés aux énergies renouvelables et qui ciblent l’Afrique subsaharienne, seuls quelques fonds panafricains destinés aux infrastructures sont aujourd’hui en mesure d’investir dans les technologies propres », note le texte.
Le FAER aura un rôle d’importance en canalisant un flux accru de capitaux privés vers les industries de production d’énergies propres en Afrique, tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre actuelles.
En investissant dans des technologies propres, le Fonds aidera les gouvernements à atteindre leurs objectifs en matière d’énergies propres et d’émissions de carbone, tout en contribuant à créer des emplois, à générer des revenus, à améliorer tant la qualité que la quantité des prestations, et à augmenter les recettes publiques.
Le Fonds africain de l’énergie renouvelable a été conçu pour répondre aux besoins d’investissements et faire effet de levier, afin d’attirer des investissements supplémentaires, nécessaires pour créer des industries durables dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique subsaharienne.
La BAD a joué un rôle essentiel dans la conception de ce fonds, dans sa structure et le choix du gestionnaire notamment.
Gestionnaire du FAER, Berkeley Energy, une société de gestion de fonds de capital-investissement créée en 2007, a établi, en 2009, un Fonds des énergies renouvelables ciblant l’Asie (le REAF), doté d’un mandat sensiblement similaire à celui du FAER et d’un capital de 110 millions de dollars EU, déployé et investi à 80 % en trois ans et demi d’existence.
Le mandat du FAER est en phase avec la stratégie décennale de la BAD (2013-2022), axée sur la sécurité énergétique et la croissance verte inclusive, piliers d’une transition vers le développement durable et la prospérité pour tous, souligne le communiqué.
cmas
Selon un communiqué de l’Organisation de la presse africaine (APO), le FAER est un fonds de capital-investissement, qui investit dans des projets d’énergie renouvelable (d’envergure modeste et moyenne) en Afrique subsaharienne (à l’exclusion de l’Afrique du Sud), et vise une capitalisation totale de 150 à 200 millions de dollars EU.
Les ressources annuelles nécessaires à l’adaptation au changement climatique et à la mise en œuvre de solutions à faibles émissions de carbone en Afrique atteindraient, selon les estimations, entre 22 et 31 milliards de dollars EU d’ici à 2015. « Or, s’il y a un besoin urgent de fonds d’investissements dédiés aux énergies renouvelables et qui ciblent l’Afrique subsaharienne, seuls quelques fonds panafricains destinés aux infrastructures sont aujourd’hui en mesure d’investir dans les technologies propres », note le texte.
Le FAER aura un rôle d’importance en canalisant un flux accru de capitaux privés vers les industries de production d’énergies propres en Afrique, tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre actuelles.
En investissant dans des technologies propres, le Fonds aidera les gouvernements à atteindre leurs objectifs en matière d’énergies propres et d’émissions de carbone, tout en contribuant à créer des emplois, à générer des revenus, à améliorer tant la qualité que la quantité des prestations, et à augmenter les recettes publiques.
Le Fonds africain de l’énergie renouvelable a été conçu pour répondre aux besoins d’investissements et faire effet de levier, afin d’attirer des investissements supplémentaires, nécessaires pour créer des industries durables dans le domaine des énergies renouvelables en Afrique subsaharienne.
La BAD a joué un rôle essentiel dans la conception de ce fonds, dans sa structure et le choix du gestionnaire notamment.
Gestionnaire du FAER, Berkeley Energy, une société de gestion de fonds de capital-investissement créée en 2007, a établi, en 2009, un Fonds des énergies renouvelables ciblant l’Asie (le REAF), doté d’un mandat sensiblement similaire à celui du FAER et d’un capital de 110 millions de dollars EU, déployé et investi à 80 % en trois ans et demi d’existence.
Le mandat du FAER est en phase avec la stratégie décennale de la BAD (2013-2022), axée sur la sécurité énergétique et la croissance verte inclusive, piliers d’une transition vers le développement durable et la prospérité pour tous, souligne le communiqué.
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