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Société Publié le jeudi 21 novembre 2013 | APA

La presse ivoirienne salue l’augmentation du SMIG de 36.607 à 60.000 FCFA

La presse ivoirienne a salué dans sa livraison de jeudi, la décision du gouvernement de faire passer le salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) de 36.607 à 60.000 FCFA, en qualifiant cette décision de « bonne nouvelle pour les travailleurs ».

Fraternité Matin, journal à capitaux publics, titre à sa Une : « bonne nouvelle pour les travailleurs, le Smig passe à 60.000 FCFA ». Ce quotidien précise qu'à travers cette initiative, le Conseil des ministres « satisfait une revendication vieille de six ans ».

« Lutte contre la cherté de la vie, le gouvernement donne espoir aux travailleurs » à travers le Smig qui est « revalorisé », commente Le Jour Plus. Pour le Démocrate, « le Smig passe du simple au double » avec « 60.000 FCFA », comme « plus petit salaire ».

Les menaces sur l'environnement de la Presse préoccupent également les journaux ivoiriens. « Journaliste tué et un autre enlevé, faits divers ou atteintes à la liberté ? », s'interroge Fraternité Matin.

« Assassinat du journaliste Désiré Oué, Affoussiata Bamba-Lamine (Ministre de la Communication) prend ses responsabilités », renchérit l'Intelligent d'Abidjan.

A propos de l'assassinat du même journaliste, LG infos fait observer des « tirs groupés sur le régime Ouattara », quand le quotidien Aujour'hui constae que la Ministre de la Communication, Me Affousiata Bamba-Lamine se « fourvoie en voulant donner des leçons » après cette tragédie.

Dans le même registre de l'insécurité, Soir Info rapporte que « des soldats FRCI (Forces républicaines de Côte d'Ivoire, armée nationale) ont été abattus à leur poste à Abidjan-Cocody » à l'Est de la capitale économique ivoirienne. Le confrère signale que « des armes de guerre ont été emportées » à cette occasion.

Suite à l'appel au retour au pays lancé par le Chef de l'Etat aux militaires et paramilitaires en exil, le Temps expliquent « pourquoi les militaires disent niet à Ouattara ». Ce journal pense qu'il s'agit d'ultimatums sans effet et dénonce « une chasse aux ex-FDS » (Forces de défense et de sécurité, ex-dénomination de l'armée nationale).

L'Inter annonce que le procès des militaires s'ouvre ce jour au tribunal militaire et donne des « précisions sur le cas Abéhi » (pilier de l'appareil militaire sous Laurent Gbagbo).

JBK/ls/APA
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