A la faveur de la 4ème édition du Salon de l’enseignement supérieur de Côte d’Ivoire (SES-CI), le ministre Cissé Ibrahima Bacongo a prononcé une importante allocution que nous vous proposons en intégralité
Mesdames, Messieurs,
La quatrième édition du salon de l’enseignement supérieur, qui se tient dans un contexte particulier de reconstruction de notre système d’enseignement supérieur et de recherche, sous le signe d’un « Départ nouveau », m’offre l’occasion de replacer la mission de mon Département dans une dimension systémique de mise en œuvre de la vision de la politique du Président de la République pour notre sous-secteur.
Mesdames, Messieurs, dois-je d’abord rappeler que le projet du Président de la République, son Excellence Alassane Ouattara qui veut faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 est en cohérence avec l’importance qu’il a accordé et continue d’accorder à notre système d’enseignement supérieur et de recherche. Comme vous le savez, notre sous-secteur est le point d’encrage de cet ambitieux projet vers l’émergence. Cette quête de l’émergence à brève échéance devra impérativement s’appuyer sur des ressources humaines de qualité. Le système d’enseignement supérieur et de recherche, pourvoyeur des ressources humaines dont notre pays a grandement besoin dans cette dynamique bien engagée de développement, est donc, le premier maillon de ce dispositif. Notre objectif est de mettre sur le marché de l’emploi.
Honorables invités, Mesdames, Messieurs,
Plus que jamais, la Côte d’Ivoire a besoin de ressources humaines de qualité car, l’heure est à la planification stratégique pour la transformation des structures de production de l’économie de notre pays.
La politique menée par le Gouvernement a vocation à court, moyen et long termes, à créer plus d’opportunités d’emplois, plus de richesses pour une prospérité la mieux partagée possible.
Notre système d’enseignement supérieur et de recherche est bien au centre de ce dispositif car, grâce aux ressources humaines de qualité, il sera possible d’améliorer les performances des facteurs de production, la densification et la modernisation du réseau d’infrastructure, le développement des institutions mais aussi, d’impulser le changement de comportement ainsi que l’appropriation des valeurs citoyennes partagées par l’ensemble de notre système social.
Cette quatrième édition du salon de l’Enseignement Supérieur qui se tient à Bouaké au moment où le Président de la République est en visite dans le GBEKE, est en soit, un signal fort que nous souhaitons envoyer à l’attention de tous nos concitoyens.
La thématique retenue pour ce Salon de l’Enseignement Supérieur, relative à l’utilisation des Technologies de l’information et de la Communication (TIC) dans la formation est également en adéquation avec les efforts que nous déployons pour créer dans notre pays, un environnement propice à la mise en place effective du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD).
Est-il nécessaire de rappeler Mesdames, Messieurs, que l’utilisation des TIC constitue une opportunités à saisir pour la gestion des effectifs d’étudiants en constante augmentation dans notre pays, pour faire face dans une certaine mesure au déficit de ressources humaines et constitue également une voie royale vers l’accès aux ressources documentaires nationales et internationales ?
Mesdames, Messieurs, la mise en place réussie du système LMD dans tous nos établissements publics et privés d’enseignement supérieur, est, vous l’avez bien compris, tributaire d’une bonne appropriation de l’usage généralisé des TIC. Il s’agit de saisir l’opportunité offerte par ce Salon de l’Enseignement Supérieur, édition 2013 ; pour sensibiliser ; s’il en était besoin encore ; tous les acteurs de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et au-delà. Il faudra faire de ce Salon, une véritable plate-forme permettant d’engager des échanges et de prendre des initiatives dans ce sens.
Pour terminer, je voudrais Mesdames, Messieurs, remercier tous ceux qui ont contribué à l’organisation de ce Salon et saisir cette occasion, au regard de l’investissement sans précédent que l’Etat a consenti pour notre sous-secteur et des défis nombreux encore à relever, pour lancer un appel à chaque acteur de la communauté universitaire (Etudiant, Enseignant, Chercheur, personnel administratif et technique, …), pour que chacun prenne la mesure des enjeux, à son niveau et contribue, par son engagement personnel, à l’amélioration de notre système d’enseignement supérieur et de recherche.
C’est sur cette note d’espoir que je déclare ouverte, la quatrième Edition du Salon de l’Enseignement Supérieur.
Je vous remercie.
Mesdames, Messieurs,
La quatrième édition du salon de l’enseignement supérieur, qui se tient dans un contexte particulier de reconstruction de notre système d’enseignement supérieur et de recherche, sous le signe d’un « Départ nouveau », m’offre l’occasion de replacer la mission de mon Département dans une dimension systémique de mise en œuvre de la vision de la politique du Président de la République pour notre sous-secteur.
Mesdames, Messieurs, dois-je d’abord rappeler que le projet du Président de la République, son Excellence Alassane Ouattara qui veut faire de la Côte d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020 est en cohérence avec l’importance qu’il a accordé et continue d’accorder à notre système d’enseignement supérieur et de recherche. Comme vous le savez, notre sous-secteur est le point d’encrage de cet ambitieux projet vers l’émergence. Cette quête de l’émergence à brève échéance devra impérativement s’appuyer sur des ressources humaines de qualité. Le système d’enseignement supérieur et de recherche, pourvoyeur des ressources humaines dont notre pays a grandement besoin dans cette dynamique bien engagée de développement, est donc, le premier maillon de ce dispositif. Notre objectif est de mettre sur le marché de l’emploi.
Honorables invités, Mesdames, Messieurs,
Plus que jamais, la Côte d’Ivoire a besoin de ressources humaines de qualité car, l’heure est à la planification stratégique pour la transformation des structures de production de l’économie de notre pays.
La politique menée par le Gouvernement a vocation à court, moyen et long termes, à créer plus d’opportunités d’emplois, plus de richesses pour une prospérité la mieux partagée possible.
Notre système d’enseignement supérieur et de recherche est bien au centre de ce dispositif car, grâce aux ressources humaines de qualité, il sera possible d’améliorer les performances des facteurs de production, la densification et la modernisation du réseau d’infrastructure, le développement des institutions mais aussi, d’impulser le changement de comportement ainsi que l’appropriation des valeurs citoyennes partagées par l’ensemble de notre système social.
Cette quatrième édition du salon de l’Enseignement Supérieur qui se tient à Bouaké au moment où le Président de la République est en visite dans le GBEKE, est en soit, un signal fort que nous souhaitons envoyer à l’attention de tous nos concitoyens.
La thématique retenue pour ce Salon de l’Enseignement Supérieur, relative à l’utilisation des Technologies de l’information et de la Communication (TIC) dans la formation est également en adéquation avec les efforts que nous déployons pour créer dans notre pays, un environnement propice à la mise en place effective du système académique Licence-Master-Doctorat (LMD).
Est-il nécessaire de rappeler Mesdames, Messieurs, que l’utilisation des TIC constitue une opportunités à saisir pour la gestion des effectifs d’étudiants en constante augmentation dans notre pays, pour faire face dans une certaine mesure au déficit de ressources humaines et constitue également une voie royale vers l’accès aux ressources documentaires nationales et internationales ?
Mesdames, Messieurs, la mise en place réussie du système LMD dans tous nos établissements publics et privés d’enseignement supérieur, est, vous l’avez bien compris, tributaire d’une bonne appropriation de l’usage généralisé des TIC. Il s’agit de saisir l’opportunité offerte par ce Salon de l’Enseignement Supérieur, édition 2013 ; pour sensibiliser ; s’il en était besoin encore ; tous les acteurs de notre système d’enseignement supérieur et de recherche et au-delà. Il faudra faire de ce Salon, une véritable plate-forme permettant d’engager des échanges et de prendre des initiatives dans ce sens.
Pour terminer, je voudrais Mesdames, Messieurs, remercier tous ceux qui ont contribué à l’organisation de ce Salon et saisir cette occasion, au regard de l’investissement sans précédent que l’Etat a consenti pour notre sous-secteur et des défis nombreux encore à relever, pour lancer un appel à chaque acteur de la communauté universitaire (Etudiant, Enseignant, Chercheur, personnel administratif et technique, …), pour que chacun prenne la mesure des enjeux, à son niveau et contribue, par son engagement personnel, à l’amélioration de notre système d’enseignement supérieur et de recherche.
C’est sur cette note d’espoir que je déclare ouverte, la quatrième Edition du Salon de l’Enseignement Supérieur.
Je vous remercie.
