Mesdames et Messieurs les membres du Conseil National de Lutte contre le sida,
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Représentants du Système des Nations unies
Mesdames et Messieurs les Partenaires bilatéraux et multilatéraux
Honorables invités
Mesdames et Messieurs
Nous voici au terme de notre session et je voudrais me féliciter de la qualité de nos échanges qui augurent du dynamisme que nous voulons insuffler à la lutte contre le sida dans notre pays.
Une Côte d’Ivoire sans SIDA pouvait sembler utopique il y a 20 ans. Aujourd’hui, même si l’épidémie est loin d’être circonscrite, les raisons d’optimisme existent.
Ces raisons sont fondées par les progrès scientifiques enregistrés et aussi par notre engagement politique, notre détermination et les investissements importants que nous consacrons à la lutte contre cette pandémie, laquelle lutte nous a donné d’infléchir la prévalence de 4,7 pour cent à 3,7 pour cent.
Si l’on s’en tient à l’ambition du Gouvernement telle que présentée par Madame la Ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida, qui est de parvenir à un taux raisonnable de 1 pour cent, nous n’avons pas le droit de baisser pavillon devant la menace de la maladie. Sinon le prix à payer sera supérieur aux investissements que nous aurons faits.
A cet égard, je me réjouis de la reprise des réunions du Conseil National de Lutte contre le Sida (CNLS).
Cette rencontre nous a donné l’occasion d’échanger dans un dialogue franc et sans complaisance, sur les questions d’intérêt commun et d’ordre spécifique pour une lutte plus coordonnée et plus efficace.
Elle a été aussi une opportunité de situer les responsabilités de chacune et chacun face aux enjeux du financement subséquent des actions de lutte contre ce fléau des temps modernes.
Il est indispensable, pour que la gestion de l’épidémie VIH soit au cœur des actions de l’Etat, que l’ensemble des acteurs ait une vision commune des priorités pour le positionnement de la riposte.
Cette vision est belle et bien celle d’une Côte d’Ivoire où la progression du VIH est stoppée, son évolution est inversée, les enfants naissent sans infection au VIH, la gestion des perdus de vue est maitrisée, l’impact du sida sur les populations en général, sur les groupes hautement vulnérables en particulier est atténué.
Cette ambition appelle de la part du Conseil National de lutte contre le Sida, la mise en place de stratégies novatrices pour accélérer l’atteinte des objectifs nationaux. Le conseil devra également mettre en application les directives du programme commun des nations-unies pour la lutte contre le sida.
Le Plan Stratégique National en matière de santé qui a été la boussole de nos discussions nous offre des éléments d’exploration.
Je voudrais rassurer l’ensemble des parties prenantes qu’aucun effort ne sera de trop pour le Gouvernement pour accroître sa contribution au financement du plan stratégique National.
La Côte d’Ivoire reste solidaire de l’action mondiale pour bouter le sida hors de la société humaine. C'est pour cela que j'ai consenti un appui de 1 million de dollars pour soutenir l'ONUSIDA dans sa quête de mobilisation de ressources.
Mesdames, Messieurs,
Je voudrais, pour terminer, renouveler tous mes remerciements aux différentes institutions et ministères impliqués dans la lutte contre le Sida, aux acteurs du secteur privé, à la société civile et aux partenaires au développement, qui nous ont permis d’avoir ces résultats.
Je remercie également le corps préfectoral, cheville ouvrière de la coordination de toutes les actions de développement en général et de la lutte contre le VIH en particulier, sur l’ensemble du territoire national.
Je voudrais compter sur chacune et chacun de vous pour insuffler un dynamisme sans précédent à la lutte contre le VIH/sida
Je vous remercie.
Excellences Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Mesdames et Messieurs les Représentants du Système des Nations unies
Mesdames et Messieurs les Partenaires bilatéraux et multilatéraux
Honorables invités
Mesdames et Messieurs
Nous voici au terme de notre session et je voudrais me féliciter de la qualité de nos échanges qui augurent du dynamisme que nous voulons insuffler à la lutte contre le sida dans notre pays.
Une Côte d’Ivoire sans SIDA pouvait sembler utopique il y a 20 ans. Aujourd’hui, même si l’épidémie est loin d’être circonscrite, les raisons d’optimisme existent.
Ces raisons sont fondées par les progrès scientifiques enregistrés et aussi par notre engagement politique, notre détermination et les investissements importants que nous consacrons à la lutte contre cette pandémie, laquelle lutte nous a donné d’infléchir la prévalence de 4,7 pour cent à 3,7 pour cent.
Si l’on s’en tient à l’ambition du Gouvernement telle que présentée par Madame la Ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida, qui est de parvenir à un taux raisonnable de 1 pour cent, nous n’avons pas le droit de baisser pavillon devant la menace de la maladie. Sinon le prix à payer sera supérieur aux investissements que nous aurons faits.
A cet égard, je me réjouis de la reprise des réunions du Conseil National de Lutte contre le Sida (CNLS).
Cette rencontre nous a donné l’occasion d’échanger dans un dialogue franc et sans complaisance, sur les questions d’intérêt commun et d’ordre spécifique pour une lutte plus coordonnée et plus efficace.
Elle a été aussi une opportunité de situer les responsabilités de chacune et chacun face aux enjeux du financement subséquent des actions de lutte contre ce fléau des temps modernes.
Il est indispensable, pour que la gestion de l’épidémie VIH soit au cœur des actions de l’Etat, que l’ensemble des acteurs ait une vision commune des priorités pour le positionnement de la riposte.
Cette vision est belle et bien celle d’une Côte d’Ivoire où la progression du VIH est stoppée, son évolution est inversée, les enfants naissent sans infection au VIH, la gestion des perdus de vue est maitrisée, l’impact du sida sur les populations en général, sur les groupes hautement vulnérables en particulier est atténué.
Cette ambition appelle de la part du Conseil National de lutte contre le Sida, la mise en place de stratégies novatrices pour accélérer l’atteinte des objectifs nationaux. Le conseil devra également mettre en application les directives du programme commun des nations-unies pour la lutte contre le sida.
Le Plan Stratégique National en matière de santé qui a été la boussole de nos discussions nous offre des éléments d’exploration.
Je voudrais rassurer l’ensemble des parties prenantes qu’aucun effort ne sera de trop pour le Gouvernement pour accroître sa contribution au financement du plan stratégique National.
La Côte d’Ivoire reste solidaire de l’action mondiale pour bouter le sida hors de la société humaine. C'est pour cela que j'ai consenti un appui de 1 million de dollars pour soutenir l'ONUSIDA dans sa quête de mobilisation de ressources.
Mesdames, Messieurs,
Je voudrais, pour terminer, renouveler tous mes remerciements aux différentes institutions et ministères impliqués dans la lutte contre le Sida, aux acteurs du secteur privé, à la société civile et aux partenaires au développement, qui nous ont permis d’avoir ces résultats.
Je remercie également le corps préfectoral, cheville ouvrière de la coordination de toutes les actions de développement en général et de la lutte contre le VIH en particulier, sur l’ensemble du territoire national.
Je voudrais compter sur chacune et chacun de vous pour insuffler un dynamisme sans précédent à la lutte contre le VIH/sida
Je vous remercie.
