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Économie Publié le mercredi 8 janvier 2014 | Cote d’Ivoire Economie

Cherté de la vie / Quand le ministre Billon monte au créneau

© Cote d’Ivoire Economie Par Marc I.
Les Rendez-vous du Gouvernement: Le ministre Jean-Louis Billon face à la presse
Jeudi 21 Novembre 2013. Abidjan. Immeuble SCIAM. Dans le cadre de la tenue des rendez vous du Gouvernement organisé par le centre d`information et de communication du gouvernement (CICG), le ministre du Commerce, de l`artisanat et de la promotion des PME Jean-Louis Billon s`est adressé à la presse nationale et internationale
Face à ces problèmes endémiques, le ministre du Commerce, de l’Artisanat et des PME, Jean-Louis Billon, veut se faire entendre. « La justice pour les consommateurs, c’est maintenant ». Tel était le thème de la Journée mondiale des consommateurs de cette année, à laquelle il adhère. Selon le ministre, il est temps d’adopter des mesures vigoureuses afin d’améliorer la situation du consommateur ivoirien. Aussi faudrait-il que ce dernier jouisse effectivement de ses principaux droits. C’est le combat dans lequel le ministre Billon est engagé depuis son entrée au gouvernement, et même avant, lorsqu’il était encore aux affaires dans le secteur privé, et beaucoup plus pendant son mandat à la tête de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI). Dans sa nouvelle posture, le ministre Billon ne se fait pas toujours comprendre et peine parfois à être entendu par ses pairs du gouvernement sur des questions fâcheuses comme la corruption, la fraude et la cherté de la vie. Toutefois, le natif de Dabakala, au centre-nord du pays, est déterminé à laisser ses empreintes dans la sphère économique qui est la sienne à titre principal, au niveau du commerce intérieur et extérieur. Un secteur qui est très affecté par la fraude. Raison pour laquelle le ministre Jean-Louis Billon a annoncé plusieurs actions d’envergure. il s’agit entre autres de finaliser le processus d’adoption d’un Code de la consommation, d’assurer la réforme de la loi relative à la concurrence, de redynamiser la Commission de la concurrence et d’en faire un véritable instrument de lutte contre la vie chère en Côte d’Ivoire.

J.-J. Amond
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