Une délégation de l’Union Nationale de la Presse Sportive de Côte d’Ivoire (UNPSCI), conduite par son président, Magloire Diop, est ressortie, hier, de l’ambassade du Brésil en Côte d’Ivoire, sise au 22ème étage de l’Immeuble Alpha 2000 au Plateau, avec le sourire et beaucoup d’espoir. Reçue en audience par SEM Pedro Etchebarne, Chef adjoint de la mission diplomatique, représentant SEM l’Ambassadeur empêché, elle a pu obtenir non seulement des facilités pour les journalistes sportifs ivoiriens concernant les formalités de demande de visa dans le cadre de la Coupe du monde 2014, mais aussi l’engagement de la mission diplomatique à l’accompagner dans le déroulement de son programme d’activités. Au cours de cette rencontre, le président de l’UNPSCI Magloire Diop, a expliqué les six doléances consignées dans le document qu’il a remis au Chef adjoint de la mission diplomatique brésilienne. Il s’agit de facilités pour les journalistes sportifs dans les formalités de demande de visa pour la Coupe du monde 2014, d’une invitation à SEM l’ambassadeur au Forum de l’UNPSCI, de l’organisation d’un séminaire de formation en prélude au Mondial 2014 suivi d’une grande conférence de presse avec une personnalité du football brésilien, d’un voyage d’étude au Brésil pour des journalistes sportifs ivoiriens afin de faire des reportages sur les préparatifs de la Coupe du monde, de l’initiation d’un stage d’immersion à l’intention des journalistes sportifs ivoiriens dans les rédactions des médias brésiliens, et de l’obtention d’un appui pour l’équipement du nouveau siège de l’association. «Le peuple brésilien est accueillant. Nous sommes convaincus que les Ivoiriens passeront un agréable séjour au Brésil et que les Eléphants feront un bon parcours dans la compétition. Les relations diplomatiques entre le Brésil et la Côte d’Ivoire sont très anciennes et les deux pays entretiennent de très bonnes relations », a fait savoir son Excellence Pedro Etchebarne. Il a ajouté que les journalistes sportifs ivoiriens devraient être exonérés des frais de visa compte tenu de leur statut de leaders d’opinion. Si le chef de la mission diplomatique brésilienne a donné ensuite des assurances pour la participation de SEM l’Ambassadeur au Forum de l’UNPSCI en fonction de son agenda et le voyage d’étude au Brésil, il a par contre émis quelques réserves au sujets des autres préoccupations de l’UNPSCI en raison de contraintes budgétaires. Toutefois, il a affirmé la volonté de l’ambassade d’user de son portefeuille relationnel pour aider l’Union à atteindre ses objectifs et réaliser son programme d’activités.
KL
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