Dr Joseph Martial Ahipeaud, titulaire d’un PhD de “University of London » (Angleterre) et professeur à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké est candidat contre Alassane Ouattara pour la présidentielle de 2015. C’est la principale annonce de sa conférence de presse tenue hier à l’Hôtel Pullman Plateau. ‘’Sortir de la République des présidents-rois pour aller vers celle du peuple roi’’, voici la conviction qui anime l’ancien leader de la Fesci (syndicat estudiantin). Pour Ahipeaud Martial, l’heure est venue de mettre fin au cycle des héritiers guerriers pour une nouvelle république dénuée des maux actuels qui ont pour nom : une corruption rampante pour financer la mainmise totale sur les masses en les appauvrissant par la déconfiture de l’Etat - une instrumentalisation extrémiste des peurs et des appartenances tribales et enfin - une politique permanente de la belligérance qui justifie le maintien d’un Etat répressif dont la cible principale reste les opposants, décrétés éternels déstabilisateurs.
Pour l’heure, le président de l’UDL (Union pour le développement des libertés) son parti politique demande des réformes institutionnelles profondes qui passent par la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et l’avènement d’une 3e république. C’est la condition selon lui, de débarrasser la nation des menaces permanentes voir du « remake » de la crise postélectorale de 2010. Là où le Fpi réclame des états généraux de la république, Martial Ahipeaud propose un « Forum constitutionnel et politique » pour la 3e République. Vérité, repentance, non rejet de la faute sur l’autre sont de l’avis du leader de l’UDL les maîtres-mots pour une réconciliation réussie. Ses revendications actuelles concernent aussi un recensement général de la population.
SD
Pour l’heure, le président de l’UDL (Union pour le développement des libertés) son parti politique demande des réformes institutionnelles profondes qui passent par la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) et l’avènement d’une 3e république. C’est la condition selon lui, de débarrasser la nation des menaces permanentes voir du « remake » de la crise postélectorale de 2010. Là où le Fpi réclame des états généraux de la république, Martial Ahipeaud propose un « Forum constitutionnel et politique » pour la 3e République. Vérité, repentance, non rejet de la faute sur l’autre sont de l’avis du leader de l’UDL les maîtres-mots pour une réconciliation réussie. Ses revendications actuelles concernent aussi un recensement général de la population.
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