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Économie Publié le jeudi 30 janvier 2014 | Le Patriote

Nialé Kaba, ministre auprès du Premier Ministre chargée de l’Economie et des Finances : « C’est un signal fort ! »

© Le Patriote Par Marc Innocent
Enseignement supérieur : soutenances de nouveaux docteurs en sciences économiques et de gestion
Samedi 25 janvier 2014. Abidjan. La ministre Kaba Nialé a assisté à la cérémonie de soutenances groupées de thèses de doctorat et de Ph.D de 30 doctorants en sciences économiques et de gestion. 4 promus dont 3 femmes et 1 hommes se sont démarqués avec la mention très honorable. Photo : Kaba Nialé
Ce forum, c’est beaucoup de satisfaction. Tous ceux qui comptent dans le monde de la finance internationale se sont déplacés aujourd’hui au chevet de la Côte d’Ivoire. C’est un signal fort ! Cela veut dire que la communauté financière internationale est avec la Côte d’Ivoire et disposée à l’accompagner pour réussir son pari de l’émergence. Nous avons invité beaucoup d’investisseurs et ils sont venus de tous les continents pour venir saisir les opportunités d’affaires qu’offre la Côte d’Ivoire. La cérémonie d’ouverture a permis aux différents intervenants de montrer au monde que nous sommes en train de faire des efforts et de fixer les conditions du succès. L’Etat a des choses à faire et nous sommes sur la bonne voie. L’environnement des affaires est assaini. Avec le dernier rapport Doing Business, la Côte d’Ivoire fait partie des 10 pays au monde qui ont fait le plus d’efforts en matière de réformes. Notre classement n’est pas très bon, mais c’est parce que nous venons de loin. Nous continuerons à l’améliorer. Le Premier Ministre a fixé des objectifs ambitieux pour notre classement Doing Business 2014. Les réformes vont se poursuivre pour améliorer l’environnement des affaires et faire en sorte que les opérateurs privés puissent investir en Côte d’Ivoire. Bien entendu, cela devra se faire avec les opérateurs ivoiriens. C’est aussi cela le sens de l’inclusion. Elle doit permettre, à la fois, aux populations, de bénéficier des fruits de la croissance et de permettre aux investisseurs ivoiriens d’investir, eux aussi. Et à terme, de permettre à une classe d’hommes d’affaires ivoiriens d’émerger pour prendre pleinement leur place dans le développement du pays.
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