Nouho Koné est le président du Groupement professionnel des miniers de Côte d’Ivoire (GPMCI), rencontré sur le stand du Groupement à ICI 2014, il donne ici les attentes des miniers sur le Forum.
Une 4è mine est entrée en production. On annonce une production de 16 tonnes. Il y a beaucoup de permis d’exploration en attente. Peut-on parler de maturité du secteur minier en Côte d’Ivoire ?
Nous sommes toujours une industrie minière naissante. A titre de comparaison, la mine d’or de Boissy au Ghana a fêté son centenaire en 1997. Ici les vestiges des travaux miniers remontent à l’époque coloniale du côte de Zaranou qui ont été interrompus. Les grands projets travaux ont repris autour des années 1990. Nous sommes dans une industrie minière naissante car il reste beaucoup d’exploration à faire.
Pouvez-vous dresser un bilan à mi-parcours du groupement à ce forum ?
Ma première satisfaction est d’avoir réuni des membres du Groupement sur un même espace. Il y en a d’autres sur d’autres sites. Nous voulions que l’industrie minière bénéficie de visibilité car l’industrie est mal connue et mal appréciée. Et il relève de notre responsabilité, nous compagnies, de communiquer sur ce qu’est l’opération minière, ce qu’elle produit en dehors des produits de vente. Ce qu’on fait pour les communautés. Montrer que l’industrie est un pourvoyeur d’emplois. Une petite mine, en emplois directs, c’est entre 300 et 400 personnes. Et il y a deux fois plus d’emplois indirects. C’est prouvé que quand une mine s’installe, la démographie double dans la zone.
Avez-vous rencontré des investisseurs étrangers ? Des chiffres ?
Tous ceux qui sont là sont déjà sur place en Côte d’Ivoire. Les étrangers, malheureusement, je n’en ai pas encore rencontré. Mais par le passé, j’ai reçu plusieurs compagnies étrangères. Pour moi le bilan que je peux faire c’est de dire aux absents qu’il y a de la place pour tout le monde. Venez !
FO
Une 4è mine est entrée en production. On annonce une production de 16 tonnes. Il y a beaucoup de permis d’exploration en attente. Peut-on parler de maturité du secteur minier en Côte d’Ivoire ?
Nous sommes toujours une industrie minière naissante. A titre de comparaison, la mine d’or de Boissy au Ghana a fêté son centenaire en 1997. Ici les vestiges des travaux miniers remontent à l’époque coloniale du côte de Zaranou qui ont été interrompus. Les grands projets travaux ont repris autour des années 1990. Nous sommes dans une industrie minière naissante car il reste beaucoup d’exploration à faire.
Pouvez-vous dresser un bilan à mi-parcours du groupement à ce forum ?
Ma première satisfaction est d’avoir réuni des membres du Groupement sur un même espace. Il y en a d’autres sur d’autres sites. Nous voulions que l’industrie minière bénéficie de visibilité car l’industrie est mal connue et mal appréciée. Et il relève de notre responsabilité, nous compagnies, de communiquer sur ce qu’est l’opération minière, ce qu’elle produit en dehors des produits de vente. Ce qu’on fait pour les communautés. Montrer que l’industrie est un pourvoyeur d’emplois. Une petite mine, en emplois directs, c’est entre 300 et 400 personnes. Et il y a deux fois plus d’emplois indirects. C’est prouvé que quand une mine s’installe, la démographie double dans la zone.
Avez-vous rencontré des investisseurs étrangers ? Des chiffres ?
Tous ceux qui sont là sont déjà sur place en Côte d’Ivoire. Les étrangers, malheureusement, je n’en ai pas encore rencontré. Mais par le passé, j’ai reçu plusieurs compagnies étrangères. Pour moi le bilan que je peux faire c’est de dire aux absents qu’il y a de la place pour tout le monde. Venez !
FO
