Sa gestion de la Côte d'Ivoire lui vaut les félicitations des institutions internationales. Mais les Ivoiriens, eux, attendent impatiemment de goûter aux fruits de la croissance. Pour Alassane Ouattara, qui souhaite se représenter en 2015, le temps presse.
À chacun de ses déplacements dans le pays, comme à Bouaké en novembre ou à Yamoussoukro en décembre 2013, la pression se fait plus forte sur les épaules d'Alassane Ouattara. Partout, les élus lui font part de l'impatience des Ivoiriens, notamment parmi ses partisans. Le chef de l'État a beau se féliciter du retour de la sécurité et réaffirmer sa volonté de créer 1 million d'emplois en cinq ans, la population n'a pas encore vraiment goûté aux fruits de la relance.
Une situation paradoxale pour l'exécutif, qui,... suite de l'article sur Jeune Afrique
À chacun de ses déplacements dans le pays, comme à Bouaké en novembre ou à Yamoussoukro en décembre 2013, la pression se fait plus forte sur les épaules d'Alassane Ouattara. Partout, les élus lui font part de l'impatience des Ivoiriens, notamment parmi ses partisans. Le chef de l'État a beau se féliciter du retour de la sécurité et réaffirmer sa volonté de créer 1 million d'emplois en cinq ans, la population n'a pas encore vraiment goûté aux fruits de la relance.
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