Dans un communiqué signé de son Président, M. Eric-Aimé SEMIEN, l’organisation de défense des droits de l’homme <>, en abrégé APDH, dénonce ce qu’elle a appelé <>, à travers la décision qu’aurait prise le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique <<(…) de dissoudre les syndicats universitaires (…)>>.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à marquer sa surprise face à ce communiqué, qui émane d’une organisation dont il était en droit de penser que son sérieux et son professionnalisme auraient dû la conduire à vérifier l’information et à s’assurer de son effectivité.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique est d’autant plus surpris, voire indigné, qu’il a toujours défendu, publiquement, la liberté d’association parce qu’elle est prévue et garantie par la Constitution, au moment où des voix s’élevaient pour demander la dissolution d’associations ou organisations d’élèves et étudiants du secteur Education-Formation.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à préciser qu’il n’a pris aucun acte, ni signé aucune décision, pas plus qu’il n’a publié de communiqué, pour dissoudre quelque association ou organisation d’étudiants que ce soit.
À travers la conférence de presse animée le jeudi, 13 février 2014, par le Pr Edmée MANSILLA-ABOUATTIER, Directeur de Cabinet, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique s’est fait tout simplement l’écho de la décision prise, souverainement, par les universités de créer, chacune en son sein, un Conseil des Etudiants composé des personnes qui y sont régulièrement inscrites, à l’instar d’autres universités notamment au Libéria voisin, aux USA, au Canada, et ailleurs… sous la dénomination de <> ou ailleurs.
Aussi, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique comprend-il difficilement que cette conférence, au cours de laquelle le mot dissolution n’a pas été prononcé une seule fois, puisse susciter autant de réactions a la limite de l’intoxication, y compris de la part de personnes nostalgiques de leur passé peu glorieux d’étudiants, alors que les propos liminaires ont été mis à la disposition des journalistes.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à rassurer les étudiants, les associations et organisations d’étudiants, ainsi que l’opinion publique nationale et international, qu’il continuera d’œuvrer à l’amélioration des conditions de vie et de travail, sur l’ensemble des campus universitaires du pays, en particulier en préservant l’exercice des droits et libertés des acteurs de la vie universitaire que sont les enseignants, les personnels administratifs et techniques et les étudiants.
Enfin, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique se félicite de l’esprit d’anticipation, d’initiative et d’innovation des autorités universitaires, en l’occurrence, à travers la création d’un Conseil des Etudiants, dans chaque université, en vue d’impliquer davantage et plus efficacement, les étudiants dans la gestion et la promotion des universités.
LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à marquer sa surprise face à ce communiqué, qui émane d’une organisation dont il était en droit de penser que son sérieux et son professionnalisme auraient dû la conduire à vérifier l’information et à s’assurer de son effectivité.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique est d’autant plus surpris, voire indigné, qu’il a toujours défendu, publiquement, la liberté d’association parce qu’elle est prévue et garantie par la Constitution, au moment où des voix s’élevaient pour demander la dissolution d’associations ou organisations d’élèves et étudiants du secteur Education-Formation.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à préciser qu’il n’a pris aucun acte, ni signé aucune décision, pas plus qu’il n’a publié de communiqué, pour dissoudre quelque association ou organisation d’étudiants que ce soit.
À travers la conférence de presse animée le jeudi, 13 février 2014, par le Pr Edmée MANSILLA-ABOUATTIER, Directeur de Cabinet, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique s’est fait tout simplement l’écho de la décision prise, souverainement, par les universités de créer, chacune en son sein, un Conseil des Etudiants composé des personnes qui y sont régulièrement inscrites, à l’instar d’autres universités notamment au Libéria voisin, aux USA, au Canada, et ailleurs… sous la dénomination de <
Aussi, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique comprend-il difficilement que cette conférence, au cours de laquelle le mot dissolution n’a pas été prononcé une seule fois, puisse susciter autant de réactions a la limite de l’intoxication, y compris de la part de personnes nostalgiques de leur passé peu glorieux d’étudiants, alors que les propos liminaires ont été mis à la disposition des journalistes.
Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique tient à rassurer les étudiants, les associations et organisations d’étudiants, ainsi que l’opinion publique nationale et international, qu’il continuera d’œuvrer à l’amélioration des conditions de vie et de travail, sur l’ensemble des campus universitaires du pays, en particulier en préservant l’exercice des droits et libertés des acteurs de la vie universitaire que sont les enseignants, les personnels administratifs et techniques et les étudiants.
Enfin, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique se félicite de l’esprit d’anticipation, d’initiative et d’innovation des autorités universitaires, en l’occurrence, à travers la création d’un Conseil des Etudiants, dans chaque université, en vue d’impliquer davantage et plus efficacement, les étudiants dans la gestion et la promotion des universités.
LA DIRECTION DE LA COMMUNICATION
