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Art et Culture Publié le lundi 24 février 2014 | Le Patriote

Vernissage à la Galerie Cécile Kakhoury : Hamed Bakayoko, un soutien de poids pour l’art visuel

© Le Patriote Par Mike Yao
Cérémonie de lancement du projet ‘’appui à l’école nationale de police en Côte d’Ivoire’’
Lundi 17 février 2014. Ecole nationale de police (Abidjan) . Le ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, M. Hamed Bakayoko procède au lancement du projet « appui à l’école nationale de police en Côte d’Ivoire» en présence d`une délégation de l’Union Européenne et de partenaires techniques.
Assinie à Abidjan ! C’est ce qu’a réussi Pascale Marthine Tayou. Lui qui a réussi la prouesse et l’ingéniosité de transmuer l’espace de la galerie Cécile Fakhoury, aux II Plateaux, en Assinie, une cité balnéaire ivoirienne et d’avoir au nombre de ses invités, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko. C’était vendredi dernier, à la cérémonie inaugurale de l’exposition "Akwaba, Assinie, mon amour" du plasticien camerounais Pascale Marthine Tayou. A cette occasion, le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, en puriste des arts visuels, a, l’une après l’autre, scruté toutes les pièces de l’exposition. Tantôt en compagnie de Mme Cécile Fakhoury, la responsable de la galerie, tantôt avec l’artiste Marthine Tayou lui-même ou avec Lorenzo Fiaschi (co- créateur de la Galleria Continua de San Gimignano en Italie) co-organisateur de l’exposition, Hamed Bakayoko a lu quasiment tous les éléments constitutifs de l’exposition. Des fresques situées de part et d’autre de l’entrée, aux "poupées pascales", ces formes humaines sculptées dans du cristal arborant des peaux d’animaux, pour les unes, et portant des fardeaux pour les autres. Cela, en passant, bien évidement, par la pièce éponyme de l’exposition "Akwaba, Assinie mon amour". Un espace rectangulaire dressé au milieu de la salle avec des cocotiers géants, du sable de mer, des hamacs dressés çà et là. Le tout achalandé comme si l’on était à la plage. Particulièrement à Assinie ! C’était sublime. Les reflets lumineux des "néons graffitis", des projecteurs dardant des jeux de lumières multicolores donnaient au cadre, un aspect enchanteur. Et c’est cela qui fascinait surtout Hamed Bakayoko qui a dit tout son soutien à l’artiste qui n’a pas manqué de commenter ou d’expliquer la nature et la valeur de chaque objet de l’exposition à l’illustre visiteur. Outre le premier responsable de l’administration du territoire et de la sécurité, la cérémonie a également enregistré des présences distinguées. C’est ainsi que l’on notait la visite du ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget, Abdourhamane Cissé, celle de l’éminent architecte Fakhoury, Dénis Kah Zion, Pca de la Poste de Côte d’Ivoire, par ailleurs "past président" et fondateur du Groupement des éditeurs de la presse en Côte d’Ivoire (GEPCI). A tout ce beau monde, il faut ajouter les aficionados des arts visuels au nombre desquels des galeristes, des plasticiens, des critiques qui ont effectué nombreux le déplacement.
En tout cas, le vernissage de Pascale Marthine Tayou a réuni du beau monde. Et du monde de qualité. Ouverte le 21 février dernier, l’exposition reste ouverte à la galerie jusqu’au 19 avril 2014. Et les visiteurs seront au nombre des privilégiés qui découvriront la magie créatrice de cet artiste qui, par le truchement de ses œuvres, fait battre son c?ur pour la Côte d’Ivoire, à travers "Akwaba, Assinie mon amour".

Jean-Antoine Doudou
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