Des acteurs ivoiriens de la filière palmier à huile, mettent à profit la 51è édition du Salon international de l’agriculture (SIA) de Paris pour convaincre le marché européen sur les vertus de l’huile de palme après une forte campagne médiatique mettant en cause des molécules néfastes de cette huile.
Le Secrétaire exécutif de l'Association interprofessionnel de la filière palmier à huile de Côte d'Ivoire (AIPH), Bertin Abdoulaye a souligné que le Salon international de l'agriculture de Paris, est une « opportunité pour communiquer sur les vertus de l'huile de palme d'autant plus que cette huile est dénigrée et attaquée en Europe ».
« Il était temps de profiter de ce Salon pour communiquer sur l'huile de palme et apporter la contradiction », a-t-il dit, mardi, dans un entretien à APA, indiquant que « nous n'avons pas besoin de détruire l'environnement en produisant de l'huile de palme ».
« Chez nous, nous produisons de l'huile de palme de façon responsable en préservant l'environnement et faisons en sorte que ça soit un vecteur important de lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire », a poursuivi Bertin Abdoulaye.
Pour lui, ça sera injuste de croire que les producteurs de l'huile de palme, détruisent l'écosystème et menacent la santé humaine. « La filière palmier à huile est venue communiquer sur les vertus de l'huile de palme et surtout faire comprendre que c'est une huile vertueuse et produite de façon responsable », a souligné Bertin Abdoulaye.
« Nous avons eu la chance de rencontrer beaucoup de personnes qui voulaient en savoir plus. Nous avons expliqué comment l'huile de palme était produite depuis les champs jusqu'à à la transformation. Il s'agit d'une culture qui n'a pas besoin de beaucoup de produits chimiques,», a-t-il expliqué ajoutant que « la stratégie de la Côte d'Ivoire repose sur la production de façon intensive de l'huile de palme ».
Il s'est réjoui de la chance qu'ont les producteurs ivoiriens d'avoir un matériel végétal très performant mis au point par le Centre national de recherche agronomique (CNRA).
« Nous avons des planteurs qui ont un rendement assez passable. Nous pensons qu'en améliorant ces productions, nous pouvons doubler, voire même tripler la production nationale sans engranger de surface supplémentaire », a soutenu M. Abdoulaye.
Démarrée le samedi dernier, l'édition 2014 du Salon international de l'agriculture de Paris s'achève le dimanche prochain.
MC/hs/ls/APA
Le Secrétaire exécutif de l'Association interprofessionnel de la filière palmier à huile de Côte d'Ivoire (AIPH), Bertin Abdoulaye a souligné que le Salon international de l'agriculture de Paris, est une « opportunité pour communiquer sur les vertus de l'huile de palme d'autant plus que cette huile est dénigrée et attaquée en Europe ».
« Il était temps de profiter de ce Salon pour communiquer sur l'huile de palme et apporter la contradiction », a-t-il dit, mardi, dans un entretien à APA, indiquant que « nous n'avons pas besoin de détruire l'environnement en produisant de l'huile de palme ».
« Chez nous, nous produisons de l'huile de palme de façon responsable en préservant l'environnement et faisons en sorte que ça soit un vecteur important de lutte contre la pauvreté et la sécurité alimentaire », a poursuivi Bertin Abdoulaye.
Pour lui, ça sera injuste de croire que les producteurs de l'huile de palme, détruisent l'écosystème et menacent la santé humaine. « La filière palmier à huile est venue communiquer sur les vertus de l'huile de palme et surtout faire comprendre que c'est une huile vertueuse et produite de façon responsable », a souligné Bertin Abdoulaye.
« Nous avons eu la chance de rencontrer beaucoup de personnes qui voulaient en savoir plus. Nous avons expliqué comment l'huile de palme était produite depuis les champs jusqu'à à la transformation. Il s'agit d'une culture qui n'a pas besoin de beaucoup de produits chimiques,», a-t-il expliqué ajoutant que « la stratégie de la Côte d'Ivoire repose sur la production de façon intensive de l'huile de palme ».
Il s'est réjoui de la chance qu'ont les producteurs ivoiriens d'avoir un matériel végétal très performant mis au point par le Centre national de recherche agronomique (CNRA).
« Nous avons des planteurs qui ont un rendement assez passable. Nous pensons qu'en améliorant ces productions, nous pouvons doubler, voire même tripler la production nationale sans engranger de surface supplémentaire », a soutenu M. Abdoulaye.
Démarrée le samedi dernier, l'édition 2014 du Salon international de l'agriculture de Paris s'achève le dimanche prochain.
MC/hs/ls/APA
