Le ministre auprès du président de la République en charge de la Défense, Paul Koffi Koffi, en visite à l’Ouest du pays, a rassuré, samedi, les populations de Tabou (Ouest, région du Bas-Sassandra) et de Taï (Ouest, région de la Cavally) quant à l’engagement ferme de l’Etat ivoirien à sécuriser cette zone qui a subi récemment une attaque à Grabo.
"Que l’attaque de Grabo soit la dernière. Mon objectif est d’apprécier le dispositif sécuritaire en place. C’est pourquoi, je suis venu par la route. Le Président a pris toutes les dispositions pour mettre fin aux attaques", a déclaré le ministre Koffi Koffi.
Selon lui, le rôle d’un Etat est de protéger sa population et de défendre son intégrité territoriale. Par conséquent, la Côte d’Ivoire s’est donnée les moyens de ne pas faillir à cette mission.
"L’Etat ivoirien a les moyens de riposter et ne compte pas laisser tomber une seule parcelle de la Côte d’Ivoire. L’Etat ne faillira pas et nous n’allons pas abandonner Tabou. Nous allons remonter le moral de nos troupes et renforcer les moyens d’intervention", a-t-il martelé, exhortant également la population à une franche collaboration avec les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
Une attaque de villages dans la sous-préfecture de Grabo, le 22 février, a fait quatre morts dont un militaire, rappelle-t-on
kkp/bb /cgf/fmo/kkp/kam
"Que l’attaque de Grabo soit la dernière. Mon objectif est d’apprécier le dispositif sécuritaire en place. C’est pourquoi, je suis venu par la route. Le Président a pris toutes les dispositions pour mettre fin aux attaques", a déclaré le ministre Koffi Koffi.
Selon lui, le rôle d’un Etat est de protéger sa population et de défendre son intégrité territoriale. Par conséquent, la Côte d’Ivoire s’est donnée les moyens de ne pas faillir à cette mission.
"L’Etat ivoirien a les moyens de riposter et ne compte pas laisser tomber une seule parcelle de la Côte d’Ivoire. L’Etat ne faillira pas et nous n’allons pas abandonner Tabou. Nous allons remonter le moral de nos troupes et renforcer les moyens d’intervention", a-t-il martelé, exhortant également la population à une franche collaboration avec les Forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI).
Une attaque de villages dans la sous-préfecture de Grabo, le 22 février, a fait quatre morts dont un militaire, rappelle-t-on
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