La 7è conférence mondiale sur le karité s’est ouverte, lundi, à Abidjan pour définir les orientations d’un développement durable de cette filière en pleine croissance.
Lors de la cérémonie d’ouverture, le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exprimé « l’engagement du gouvernement du Premier Daniel Kablan Duncan de faire du karité une priorité au niveau du secteur agricole ».
M. Coulibaly qui avait à ses côtés, son homologue de la famille, de la femme, de l’enfant et de la solidarité, Anne Désirée Ouloto, a également souligné le « soutien de la Côte d’Ivoire à la filière karité ».
« Le gouvernement va aider les acteurs à organiser cette filière en menant des réformes », a-t-il poursuivi à ce propos dans un entretien à APA.
Avec une production moyenne de 40 000 tonnes par an, la Côte d’Ivoire occupe le rang de cinquième pays producteur mondial de ce produit de plus en plus prisé par les multinationales, qui œuvrent dans le domaine du cosmétique.
La filière emploie 12 000 femmes « collectrices » de la noix de karité. Elles représentent 90% des acteurs de la filière.
Plus de 400 personnes venues d’Afrique et du reste du monde prennent part à ces assises de la capitale économique ivoirienne qui s’achèvent, jeudi.
JBK/ls/APA
Lors de la cérémonie d’ouverture, le ministre ivoirien de l’agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly, a exprimé « l’engagement du gouvernement du Premier Daniel Kablan Duncan de faire du karité une priorité au niveau du secteur agricole ».
M. Coulibaly qui avait à ses côtés, son homologue de la famille, de la femme, de l’enfant et de la solidarité, Anne Désirée Ouloto, a également souligné le « soutien de la Côte d’Ivoire à la filière karité ».
« Le gouvernement va aider les acteurs à organiser cette filière en menant des réformes », a-t-il poursuivi à ce propos dans un entretien à APA.
Avec une production moyenne de 40 000 tonnes par an, la Côte d’Ivoire occupe le rang de cinquième pays producteur mondial de ce produit de plus en plus prisé par les multinationales, qui œuvrent dans le domaine du cosmétique.
La filière emploie 12 000 femmes « collectrices » de la noix de karité. Elles représentent 90% des acteurs de la filière.
Plus de 400 personnes venues d’Afrique et du reste du monde prennent part à ces assises de la capitale économique ivoirienne qui s’achèvent, jeudi.
JBK/ls/APA