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Société Publié le samedi 29 mars 2014 | Le Democrate

Vie conjugale n°005 : Gardez à l’esprit que personne n’est parfait !

C’est parfois tentant de faire porter à son conjoint la responsabilité des sentiments de colère, déception, ennui ou stress qu’on éprouve vis-à-vis de son mariage. De là à penser que, pour améliorer votre relation, c’est lui qui doit changer, il n’y a qu’un pas.
C’est une erreur. Quand on essaie de changer son conjoint, on le met sur la défensive et on se retrouve dans le rôle du personnage détestable. Résultat des courses: aucun des deux ne change ni ne prend la responsabilité de ses actes, et les deux sont malheureux. Sans compter que, en transformant votre conjoint en vilain, vous ignorez tout ce qu’il y a de bon en lui et qui constitue l’essentiel de sa personne.
La solution, c’est de changer soi-même. Quand on reconnaît ses propres défauts et porte attention aux qualités de l’autre, la magie apparaît. L’optimisme revient. Le partenaire ce sent mieux parce qu’il se sait plus apprécier et moins critiqué. Et les deux membres du couple retrouvent la motivation de changer de manière à faire naître encore plus de joie.
Un truc qui pourrait vous aider à penser de la sorte: adoptez la philosophie japonaise du wabi sabi, c’est-à-dire l’acceptation de l’imperfection. La prochaine fois que votre conjoint fait quelque chose qui vous déplaît, prenez une bonne respiration et répétez à voix basse wabi sabi en vous disant que ses intentions sont bonnes même s’il s’y prend mal. Sachez aussi reconnaître ses qualités et les nommer, par exemple: «Ma femme est attentionnée» ou «mon mari a de l’humour». Puis associez à cette affirmation un exemple précis : «Elle m’a fait une pédicure- manucure la semaine dernière» ou «quand je suis triste, il sait me faire rire».
Enfin, faites la paix avec vos imperfections. Il nous arrive parfois d’endosser toute la responsabilité de ce qui va mal dans le couple. À hautes doses, la culpabilité paralyse. Sachez reconnaître vos qualités, nommez-les et illustrez-les d’exemples: «Je suis affectueux et gentil; hier, j’ai renoncé au dernier biscuit pour le laisser à ma femme.» «Je suis honnête; je lui dis ce que je pense réellement.
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