Le cités universitaires ivoiriennes vont ouvrir à nouveau, mardi, leurs portes aux étudiants, après trois ans de fermeture pour des travaux de rénovation, a annoncé, lundi, le gouvernement.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a déclaré à la presse que « les premiers étudiants seront dans leur chambre dès demain (mardi 8 avril 2014, ndlr) ». Mais, a-t-il précisé « la sélection se fera par le mérite ».
Désormais, les bénéficiaires paieront 6000 fcfa pour les chambres doubles et 10 000 fcfa pour les chambres individuelles.
Les universités publiques ivoiriennes ont rouvert en septembre 2012 sous le sceau d’un ‘’départ nouveau’’, après de coûteux travaux de rénovation effectués à la suite de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts.
Le coût desdits travaux évalué à plus de 110 milliards de fcfa, a souvent provoqué de vives polémiques au sein de la grande famille universitaire.
L’objectif des nouvelles autorités étaient de débarrasser les campus d’une décennie de tourmente politico-militaire, au cours de laquelle ce temple du savoir était devenu un champ de violences et de trafics de tous genres.
LS/jbk/APA
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, a déclaré à la presse que « les premiers étudiants seront dans leur chambre dès demain (mardi 8 avril 2014, ndlr) ». Mais, a-t-il précisé « la sélection se fera par le mérite ».
Désormais, les bénéficiaires paieront 6000 fcfa pour les chambres doubles et 10 000 fcfa pour les chambres individuelles.
Les universités publiques ivoiriennes ont rouvert en septembre 2012 sous le sceau d’un ‘’départ nouveau’’, après de coûteux travaux de rénovation effectués à la suite de la crise postélectorale de décembre 2010 à avril 2011, qui a fait quelque 3.000 morts.
Le coût desdits travaux évalué à plus de 110 milliards de fcfa, a souvent provoqué de vives polémiques au sein de la grande famille universitaire.
L’objectif des nouvelles autorités étaient de débarrasser les campus d’une décennie de tourmente politico-militaire, au cours de laquelle ce temple du savoir était devenu un champ de violences et de trafics de tous genres.
LS/jbk/APA
