Korhogo - Le coordinateur du projet de professionnalisation de la filière des déchets solides et ménagers, Alphonce Sehi Bi a annoncé samedi, à la salle de conférence de la préfecture de Korhogo, que d’ici deux à trois ans, la ville de Korhogo va avoir au moins 500 emplois durables dans le domaine de la salubrité urbaine.
« A Korhogo on peut retenir que d’ici deux ou trois ans nous pouvons avoir au moins 500 emplois durables », a révélé le coordinateur du projet qui précise que le projet a déjà permis de former en 2013, 487 agents au métier de la salubrité dans les villes de Man, de Bouaké, et 125 autres formés à Yamoussoukro, soit un total de plus de 600 jeunes formés aux métiers de la salubrité.
M. Séhi présentait son projet de professionnalisation des déchets solides et ménagers aux autorités et à la population de Korhogo. Il est mis en oeuvre par le ministère de l’Environnement et de la Salubrité urbaine et du Développement durable à travers son agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR).
Ce projet va durer quatre ans et vise à créer de petites et moyennes entreprises (PME) de pré-collecte, en vue d’assurer la préservation du cadre de vie et de pérenniser la propreté dans toutes les villes la Côte d’Ivoire.
Pour le coordonnateur, « désormais ceux qui travaillent dans le secteur des déchets doivent vivre de leur métier. Il souligne qu’on peut utiliser les ordures ménagères et faire du compostage pour vendre.
Il a également souhaité l’implication de la population jeune, femme et homme dans la gestion de la salubrité. « Nous ce que nous voulons c’est que dans le secteur de la salubrité, les uns et les autres puissent travailler de façon permanente et vivre de leur métier comme ça se fait ailleurs », a ajouté M Séhi Bi.
Le sous-préfet de Korhogo, M Kouassi N’guessan Emile a pour sa part rassuré de la disponibilité du préfet de région à accompagner l’ANASUR dans la mise en œuvre du projet, afin qu’il connaisse un succès à Korhogo.
Il précise que la professionnalisation de la gestion des déchets solides et ménagers qui participera à l’amélioration de notre cadre de vie s’inscrit dans la politique du Chef de l’Etat de créer des emplois et de réduire le chômage.
Avant cette rencontre les agents de la salubrité de la coordination générale des comités d’assainissement de Korhogo (CGCAK) ont été formés à deux modules, à savoir la communication sur la collecte sélective des déchets et l’intérêt de la création d’une PME.
« A Korhogo on peut retenir que d’ici deux ou trois ans nous pouvons avoir au moins 500 emplois durables », a révélé le coordinateur du projet qui précise que le projet a déjà permis de former en 2013, 487 agents au métier de la salubrité dans les villes de Man, de Bouaké, et 125 autres formés à Yamoussoukro, soit un total de plus de 600 jeunes formés aux métiers de la salubrité.
M. Séhi présentait son projet de professionnalisation des déchets solides et ménagers aux autorités et à la population de Korhogo. Il est mis en oeuvre par le ministère de l’Environnement et de la Salubrité urbaine et du Développement durable à travers son agence nationale de la salubrité urbaine (ANASUR).
Ce projet va durer quatre ans et vise à créer de petites et moyennes entreprises (PME) de pré-collecte, en vue d’assurer la préservation du cadre de vie et de pérenniser la propreté dans toutes les villes la Côte d’Ivoire.
Pour le coordonnateur, « désormais ceux qui travaillent dans le secteur des déchets doivent vivre de leur métier. Il souligne qu’on peut utiliser les ordures ménagères et faire du compostage pour vendre.
Il a également souhaité l’implication de la population jeune, femme et homme dans la gestion de la salubrité. « Nous ce que nous voulons c’est que dans le secteur de la salubrité, les uns et les autres puissent travailler de façon permanente et vivre de leur métier comme ça se fait ailleurs », a ajouté M Séhi Bi.
Le sous-préfet de Korhogo, M Kouassi N’guessan Emile a pour sa part rassuré de la disponibilité du préfet de région à accompagner l’ANASUR dans la mise en œuvre du projet, afin qu’il connaisse un succès à Korhogo.
Il précise que la professionnalisation de la gestion des déchets solides et ménagers qui participera à l’amélioration de notre cadre de vie s’inscrit dans la politique du Chef de l’Etat de créer des emplois et de réduire le chômage.
Avant cette rencontre les agents de la salubrité de la coordination générale des comités d’assainissement de Korhogo (CGCAK) ont été formés à deux modules, à savoir la communication sur la collecte sélective des déchets et l’intérêt de la création d’une PME.
