ABIDJAN - Le gouvernement ivoirien et le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) ont convenu de mener une synergie d'actions pour une prise en charge efficace des réfugiés retournés au pays, a-t-on appris mercredi de source officielle.
Selon l'assistante juridique du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère ivoirien des Affaires étrangères Laeticia Kacou, il s'agit d'une conjugaison des efforts des structures gouvernementales sue sont le SAARA et le Programme national de cohésion sociale (PNCS) avec le HCR.
"Nous avons par exemple soumis au PNCS la liste des réfugiés rapatriés qui souhaiteraient bénéficier de projets générateurs de revenus afin de s'insérer dans le tissu socio-économique", a noté Mme Kacou.
Celle-ci a rappelé l'assistance apportée aux réfugiés qui ont regagné le pays dans les différentes étapes du processus par le gouvernement, par le truchement du SAARA .
La Côte d'Ivoire retrouve de manière progressive la normalité après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
Selon des statistiques des organisations humanitaires, plus de 250.000 Ivoiriens avaient fui les affrontements meurtriers et pris le chemin de l' exil vers les pays limitrophes au plus fort de la crise.
Des milliers d'Ivoiriens qui avaient trouvé refuge dans des pays limitrophes tels que le Libéria et le Ghana sont retournés au pays, répondant aux appels des autorités et des ONG.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires dont le Haut- commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) multiplient les efforts pour amener les réfugiés ivoiriens à regagner le pays.
A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, invitant ceux-ci à revenir au bercail pour apporter leur contribution à la relance économique post-crise.
Selon l'assistante juridique du Service d'aide et d'assistance aux réfugiés et apatrides (SAARA) du ministère ivoirien des Affaires étrangères Laeticia Kacou, il s'agit d'une conjugaison des efforts des structures gouvernementales sue sont le SAARA et le Programme national de cohésion sociale (PNCS) avec le HCR.
"Nous avons par exemple soumis au PNCS la liste des réfugiés rapatriés qui souhaiteraient bénéficier de projets générateurs de revenus afin de s'insérer dans le tissu socio-économique", a noté Mme Kacou.
Celle-ci a rappelé l'assistance apportée aux réfugiés qui ont regagné le pays dans les différentes étapes du processus par le gouvernement, par le truchement du SAARA .
La Côte d'Ivoire retrouve de manière progressive la normalité après une crise post-électorale aiguë qui a secoué le pays en 2010 et 2011, faisant au moins 3.000 morts et un million de déplacés.
Selon des statistiques des organisations humanitaires, plus de 250.000 Ivoiriens avaient fui les affrontements meurtriers et pris le chemin de l' exil vers les pays limitrophes au plus fort de la crise.
Des milliers d'Ivoiriens qui avaient trouvé refuge dans des pays limitrophes tels que le Libéria et le Ghana sont retournés au pays, répondant aux appels des autorités et des ONG.
Le gouvernement ivoirien et ses partenaires dont le Haut- commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés (HCR) multiplient les efforts pour amener les réfugiés ivoiriens à regagner le pays.
A plusieurs occasions, le président ivoirien Alassane Ouattara a rappelé à ses compatriotes en exil que la guerre est finie et que le pays est pacifié, invitant ceux-ci à revenir au bercail pour apporter leur contribution à la relance économique post-crise.
