La grogne persiste en Côte d’Ivoire chez les militaires rentrés d’exil fin 2013 et début 2014. Ils répondaient à l’appel au retour du président Alassane Ouattara, qui leur a garanti la sécurité et la réintégration dans les rangs de l’armée. Leur situation reste difficile aujourd’hui.
« Nous ne mangeons pas, nous vivons dans la rue », témoigne sous anonymat un jeune qui affirme avoir intégré les Forces de défense et de sécurité début 2010. Ayant dû fuir la Côte d’Ivoire après la crise postélectorale, il veut maintenant réintégrer l’armée. Mais pour l’instant, il y a peu d’élus parmi les 4 000 qui se sont signalés au ministère de la Défense. « Seulement 27 ont été réintégrés, et les autres ? », s'interroge-t-il. « Certains parmi... suite de l'article sur RFI
« Nous ne mangeons pas, nous vivons dans la rue », témoigne sous anonymat un jeune qui affirme avoir intégré les Forces de défense et de sécurité début 2010. Ayant dû fuir la Côte d’Ivoire après la crise postélectorale, il veut maintenant réintégrer l’armée. Mais pour l’instant, il y a peu d’élus parmi les 4 000 qui se sont signalés au ministère de la Défense. « Seulement 27 ont été réintégrés, et les autres ? », s'interroge-t-il. « Certains parmi... suite de l'article sur RFI