Yamoussoukro - Quelque onze meuniers ont entamé mardi à l'Institut national polytechnique Houphouët-Boigny (INP-HB) de Yamoussoukro, une session de formation sur l'amélioration des technologies de transformations artisanales et semi-artisanales du maïs en vue de produire des semoules de bonne qualité.
La formation est organisée dans le cadre du programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest. Elle réunit des meuniers de Boundiali, Korhogo, Gnéméné, Ferkéssédougou, Tafiré, Katiola, Bouaké, Daloa, Gagnoa et Yamoussoukro. La session de formation va durer trois jours, et va porter sur des enseignements théoriques, et pratiques notamment sur la décortication, la monture, et le broyage de maïs.
Le coût de ce programme est de plus de neuf millions de francs CFA, financé par le FIRCA. Il est réalisé par le Laboratoire des procédés industriels de synthèse, de l'environnement et des énergies nouvelle (LAPISEN) de l'INP-HB, et vise selon le coordonnateur, le Pr Doudjo Soro, à améliorer le taux de transformation des produits dérivés du maïs.
Le directeur général de l'INP-HB, Sangaré Moustapha, qui a présidé l'ouverture des travaux, a encouragé les initiateurs du projet, l'école supérieure d'agronomie (ESA) et LAPISEN pour leurs actions qui s'inscrivent dans la vision de l'institut, à savoir, faire profiter l'expertise de l'INP-HB aux populations, afin qu'elles améliorent leurs conditions de vie.
Débuté en 2013, le projet d'amélioration des technologies de transformations artisanales et semi-artisanales du maïs prend fin le 30 avril.
(AIP)
nam/kam/ask
La formation est organisée dans le cadre du programme de productivité agricole en Afrique de l'Ouest. Elle réunit des meuniers de Boundiali, Korhogo, Gnéméné, Ferkéssédougou, Tafiré, Katiola, Bouaké, Daloa, Gagnoa et Yamoussoukro. La session de formation va durer trois jours, et va porter sur des enseignements théoriques, et pratiques notamment sur la décortication, la monture, et le broyage de maïs.
Le coût de ce programme est de plus de neuf millions de francs CFA, financé par le FIRCA. Il est réalisé par le Laboratoire des procédés industriels de synthèse, de l'environnement et des énergies nouvelle (LAPISEN) de l'INP-HB, et vise selon le coordonnateur, le Pr Doudjo Soro, à améliorer le taux de transformation des produits dérivés du maïs.
Le directeur général de l'INP-HB, Sangaré Moustapha, qui a présidé l'ouverture des travaux, a encouragé les initiateurs du projet, l'école supérieure d'agronomie (ESA) et LAPISEN pour leurs actions qui s'inscrivent dans la vision de l'institut, à savoir, faire profiter l'expertise de l'INP-HB aux populations, afin qu'elles améliorent leurs conditions de vie.
Débuté en 2013, le projet d'amélioration des technologies de transformations artisanales et semi-artisanales du maïs prend fin le 30 avril.
(AIP)
nam/kam/ask
