Abidjan (Côte d’Ivoire)
Le procès en cassation du chef de la sécurité présidentielle sous Laurent Gbagbo, le général Brunot Dogbo Blé, a été à nouveau reporté, jeudi, au 26 juin prochain, a appris APA de source proche de la Cour suprême.
Une source judiciaire a déclaré à APA que ce procès, déjà reporté plusieurs fois, devrait se tenir ce jeudi devant Cour suprême de Côte d’Ivoire où le juge Véh Boua devrait définitivement condamné ou relaxer le prévenu.
Reconnu coupable d’avoir commandité l’enlèvement, la séquestration et l’assassinat du colonel-major à la retraite Adama Dosso, pendant la crise post-électorale, le général Brunot Dogbo Blé a été condamné le 11 octobre 2012 à 15 ans de prison par le tribunal militaire d’Abidjan en même temps que trois autres co-accusés.
Les avocats du Général Dogbo Blé avaient rejeté les accusations portées contre leur client, relevant une insuffisance de preuves matérielles.
Agé de 62 ans, le Général de Brigade Dogbo Blé, est par ailleurs inculpé de génocide et d’autres crimes de sang commis durant la crise post-électorale qui a fait au moins 3 000 morts entre décembre 2010 et avril 2011.
Le procès en cassation du chef de la sécurité présidentielle sous Laurent Gbagbo, le général Brunot Dogbo Blé, a été à nouveau reporté, jeudi, au 26 juin prochain, a appris APA de source proche de la Cour suprême.
Une source judiciaire a déclaré à APA que ce procès, déjà reporté plusieurs fois, devrait se tenir ce jeudi devant Cour suprême de Côte d’Ivoire où le juge Véh Boua devrait définitivement condamné ou relaxer le prévenu.
Reconnu coupable d’avoir commandité l’enlèvement, la séquestration et l’assassinat du colonel-major à la retraite Adama Dosso, pendant la crise post-électorale, le général Brunot Dogbo Blé a été condamné le 11 octobre 2012 à 15 ans de prison par le tribunal militaire d’Abidjan en même temps que trois autres co-accusés.
Les avocats du Général Dogbo Blé avaient rejeté les accusations portées contre leur client, relevant une insuffisance de preuves matérielles.
Agé de 62 ans, le Général de Brigade Dogbo Blé, est par ailleurs inculpé de génocide et d’autres crimes de sang commis durant la crise post-électorale qui a fait au moins 3 000 morts entre décembre 2010 et avril 2011.
