Le colloque international initié par la Haute autorité de la communication audiovisuelle (HACA) à l’attention des 33 pays membres du Réseau des instances africaines de régulation de la communication (RIARC) et les acteurs du secteur de la communication audiovisuelle a ouvert ses portes, hier, au Golf Hôtel d’Abidjan pour s’achever aujourd’hui.
150 participants sont en conclave durant ces deux jours de réflexion. «La réglementation de la communication audiovisuelle par le Satellite et les nouveaux moyens de diffusion». Tel est le thème de ce colloque international qui a enregistré la présence d’un parterre d’invités dont le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi et des représentants de plusieurs chancelleries et ministères. Cadre d’échanges et de partage d’expériences pour les instances de régulation, le colloque est une tribune permettant aux experts d’appréhender les avancées technologiques et de définir une régulation adaptée aux nouveaux services de communication audiovisuelle. Aussi, portent-ils leurs réflexions sur le mécanisme d’harmonisation de la régulation de la communication audiovisuelle dans les pays membres du RIARC. Après avoir salué l’initiative de cette première grande rencontre organisée par le RIARC en Côte d’Ivoire à travers la Haca, Abdourahamane Ousmane, président du Conseil supérieur de la communication du Niger et par ailleurs président du RIARC a défini cinq axes thématiques majeurs qui meubleront les quatre panels prévus. Il s’agit notamment de la transition vers le numérique, le cadre juridique et institutionnel de la régulation, la régulation des médias en période électorale, l’égalité hommes/femmes dans les programmes des médias ; le partenariat et le réseautage. A sa suite, le ministre Ibrahim SY Savané, président de la Haca a jeté un regard critique sur la situation prévalant dans le secteur audiovisuel. « Comme tétanisés, les Etats et les régulateurs assistent parfois impuissants, à une réglementation de fait et qui pourrait se généraliser. Il nous faut réfléchir, mobiliser et conjuguer les intelligences pour renforcer les bases de cette réglementation … Nous devons rappeler les règles, mais ne pas céder à un harcèlement permanent des entrepreneurs audiovisuels. Trop de disputes autour d’une digue fragile ne consolident pas celle-ci et favorisent bien au contraire, toutes sortes de déferlements », a confié SY Savané avant le début des travaux des panélistes qui ont bouclé cette première journée avec des contributions attendues. La cérémonie de clôture est prévue aujourd’hui avec d’autres panels. Ils portent sur l’évolution technologique dans le secteur des télécommunications avec de nouvelles techniques de traitement des signaux et l’apparition de nouveaux terminaux. La session d’adoption des recommandations et du rapport de synthèse sanctionnera ces deux jours de réflexions. Avec à la clé un dîner-gala offert aux panélistes par la Haca.
A.Dinguy’s N
150 participants sont en conclave durant ces deux jours de réflexion. «La réglementation de la communication audiovisuelle par le Satellite et les nouveaux moyens de diffusion». Tel est le thème de ce colloque international qui a enregistré la présence d’un parterre d’invités dont le ministre délégué à la Défense, Paul Koffi et des représentants de plusieurs chancelleries et ministères. Cadre d’échanges et de partage d’expériences pour les instances de régulation, le colloque est une tribune permettant aux experts d’appréhender les avancées technologiques et de définir une régulation adaptée aux nouveaux services de communication audiovisuelle. Aussi, portent-ils leurs réflexions sur le mécanisme d’harmonisation de la régulation de la communication audiovisuelle dans les pays membres du RIARC. Après avoir salué l’initiative de cette première grande rencontre organisée par le RIARC en Côte d’Ivoire à travers la Haca, Abdourahamane Ousmane, président du Conseil supérieur de la communication du Niger et par ailleurs président du RIARC a défini cinq axes thématiques majeurs qui meubleront les quatre panels prévus. Il s’agit notamment de la transition vers le numérique, le cadre juridique et institutionnel de la régulation, la régulation des médias en période électorale, l’égalité hommes/femmes dans les programmes des médias ; le partenariat et le réseautage. A sa suite, le ministre Ibrahim SY Savané, président de la Haca a jeté un regard critique sur la situation prévalant dans le secteur audiovisuel. « Comme tétanisés, les Etats et les régulateurs assistent parfois impuissants, à une réglementation de fait et qui pourrait se généraliser. Il nous faut réfléchir, mobiliser et conjuguer les intelligences pour renforcer les bases de cette réglementation … Nous devons rappeler les règles, mais ne pas céder à un harcèlement permanent des entrepreneurs audiovisuels. Trop de disputes autour d’une digue fragile ne consolident pas celle-ci et favorisent bien au contraire, toutes sortes de déferlements », a confié SY Savané avant le début des travaux des panélistes qui ont bouclé cette première journée avec des contributions attendues. La cérémonie de clôture est prévue aujourd’hui avec d’autres panels. Ils portent sur l’évolution technologique dans le secteur des télécommunications avec de nouvelles techniques de traitement des signaux et l’apparition de nouveaux terminaux. La session d’adoption des recommandations et du rapport de synthèse sanctionnera ces deux jours de réflexions. Avec à la clé un dîner-gala offert aux panélistes par la Haca.
A.Dinguy’s N
