Au moment où l’on croyait le débat sur la nouvelle Commission électorale indépendante, (CEI) clos avec son adoption en plénière par les députés ivoiriens le 28 mai dernier, l’Alliance des forces démocratiques de Côte d’Ivoire, la coalition de douze partis de l’opposition remet le sujet sur la table.
A l’occasion d’une rencontre avec la presse hier, selon Koaci.com le 2ème vice-président de l’Alliance et par ailleurs président du Parti Ivoirien des travailleurs (Pit),Aka Ahizi Daniel a annoncé que les douze partis politique de l’opposition membres de la coalition a la capacité d’empêcher le fonctionnement de la nouvelle CEI.
Le président du PIT reconnaissant par ailleurs que l’Alliance n’a pas les moyens juridiques pour saisir le conseil constitutionnel prévient.
«Nous sommes désarmés, mais nous avons la force politique pour faire reculer le pouvoir. Nous attendons de voir si la loi est promulguée pour tirer les conséquences. Nous ne sommes pas favorables du tout à cette loi qui a été mise en place. Nous ne sommes pas favorables à cette CEI tel que votée, » a expliqué le 2ème vice-président de l’Alliance.
Aka Ahizi Daniel a rappelé que l’Alliance a accepté de participer aux réunions organisées par Hamed Bakayoko malheureusement toutes ses propositions ont été vidées de leur contenu.
«Nous avons voulu une CEI équilibrée, indépendante et un président consensuel. Il faut un consensus. On ne peut pas vouloir faire un passage en force, » a-t-il ajouté.
Politiquement, l’Alliance a entrepris selon son 2ème vice-président de saisir les chancelleries. «Le pouvoir ne représente pas plus de 50%. Sa légitimité est mise en cause, » a martelé le président du PIT.
Présent à cette conférence de presse, le Secrétaire général du RPP représentant Laurent Dona Fologo a ajouté que l’élection de 2010 n’a pas été faite sur la base de la constitution.
«Nous ne désespérons pas. Ce n’est pas le nombre qui fait la confiance et la transparence d’une CEI. Nous voulons qu’on s’entende. Il ne faut pas répéter ce qui s’est produit en 2010, » a conclu Ouattara Gnonzié.
L’actualité politique ivoirienne a été décryptée par le président du PIT, ce dernier a déploré les agissements perpétrés quelquefois avec la bienveillance du pouvoir sur les partis de l’opposition.
Face donc à ces agissements déplorables, l’Alliance des forces démocratiques de Côte d’Ivoire appelle ses membres et tous les partis politiques de l’opposition à la plus grande vigilance et demande au pouvoir de savoir raison gardée au risque de conduire à nouveau la Côte d’Ivoire vers le péril que personne ne souhaite
A l’occasion d’une rencontre avec la presse hier, selon Koaci.com le 2ème vice-président de l’Alliance et par ailleurs président du Parti Ivoirien des travailleurs (Pit),Aka Ahizi Daniel a annoncé que les douze partis politique de l’opposition membres de la coalition a la capacité d’empêcher le fonctionnement de la nouvelle CEI.
Le président du PIT reconnaissant par ailleurs que l’Alliance n’a pas les moyens juridiques pour saisir le conseil constitutionnel prévient.
«Nous sommes désarmés, mais nous avons la force politique pour faire reculer le pouvoir. Nous attendons de voir si la loi est promulguée pour tirer les conséquences. Nous ne sommes pas favorables du tout à cette loi qui a été mise en place. Nous ne sommes pas favorables à cette CEI tel que votée, » a expliqué le 2ème vice-président de l’Alliance.
Aka Ahizi Daniel a rappelé que l’Alliance a accepté de participer aux réunions organisées par Hamed Bakayoko malheureusement toutes ses propositions ont été vidées de leur contenu.
«Nous avons voulu une CEI équilibrée, indépendante et un président consensuel. Il faut un consensus. On ne peut pas vouloir faire un passage en force, » a-t-il ajouté.
Politiquement, l’Alliance a entrepris selon son 2ème vice-président de saisir les chancelleries. «Le pouvoir ne représente pas plus de 50%. Sa légitimité est mise en cause, » a martelé le président du PIT.
Présent à cette conférence de presse, le Secrétaire général du RPP représentant Laurent Dona Fologo a ajouté que l’élection de 2010 n’a pas été faite sur la base de la constitution.
«Nous ne désespérons pas. Ce n’est pas le nombre qui fait la confiance et la transparence d’une CEI. Nous voulons qu’on s’entende. Il ne faut pas répéter ce qui s’est produit en 2010, » a conclu Ouattara Gnonzié.
L’actualité politique ivoirienne a été décryptée par le président du PIT, ce dernier a déploré les agissements perpétrés quelquefois avec la bienveillance du pouvoir sur les partis de l’opposition.
Face donc à ces agissements déplorables, l’Alliance des forces démocratiques de Côte d’Ivoire appelle ses membres et tous les partis politiques de l’opposition à la plus grande vigilance et demande au pouvoir de savoir raison gardée au risque de conduire à nouveau la Côte d’Ivoire vers le péril que personne ne souhaite
