Abidjan - La ministre de la Communication, Me Affoussiata Bamba-Lamine, procédant vendredi à une visite des quotidiens Le Nouveau Réveil et L’Expression dans la commune de Cocody, à Abidjan, a exhorté les journalistes à se former, pour ne pas tomber dans "la désinformation et le dénigrement".
"C’est un métier où justement la formation est au cœur du métier, je pense que les journalistes sont obligés de se former pour suivre toutes les évolutions et donner la véritable information. Quand cela n’est pas fait, c’est difficile car on tombe dans la désinformation, dans le dénigrement", a exprimé la ministre en charge de la communication, invitant les journalistes à redonner les lettres de noblesses à la profession.
"J’ai visité les locaux du quotidien Le Nouveau Réveil et du quotidien L’Expression. J’en suis sortie ravie et satisfaite parce que j’ai constaté que c’était des quotidiens qui étaient faits à une dimension humaine où les journalistes pouvaient travailler dans de bonnes conditions", s’est félicitée Me Bamba-Lamine, indiquant par ailleurs s’être enquis des difficultés vécues par les journalistes.
S’exprimant sur la non application de la convention collective, la ministre s’est voulue rassurante quant à son ambition de régler cette question dans l’intérêt de tous.
"Je vous donne l’assurance que cette question va être réglée de façon pérenne et de façon définitive mais en toute objectivité avec non seulement le GEPCI mais également les syndicats de la profession et également le CNP parce qu’il faut savoir que le GEPCI a pris un engagement au niveau du CNP et nous allons voir comment nous pourrons concilier les positions non seulement des journalistes mais également du GEPCI", a-t-elle dit.
"Je l’ai dit au cours de ma visite que je rêve d’un pays dans lequel, à savoir la Côte d’Ivoire, les journalistes pourront percevoir un salaire de 500.000 FCFA et j’espère que ce rêve se réalisera pendant que je suis encore ministre. C’est une bataille que je vais mener avec les journalistes et évidemment avec les patrons de presse", a par ailleurs conclu Me Bamba-Lamine.
(AIP)
gak/cmas
"C’est un métier où justement la formation est au cœur du métier, je pense que les journalistes sont obligés de se former pour suivre toutes les évolutions et donner la véritable information. Quand cela n’est pas fait, c’est difficile car on tombe dans la désinformation, dans le dénigrement", a exprimé la ministre en charge de la communication, invitant les journalistes à redonner les lettres de noblesses à la profession.
"J’ai visité les locaux du quotidien Le Nouveau Réveil et du quotidien L’Expression. J’en suis sortie ravie et satisfaite parce que j’ai constaté que c’était des quotidiens qui étaient faits à une dimension humaine où les journalistes pouvaient travailler dans de bonnes conditions", s’est félicitée Me Bamba-Lamine, indiquant par ailleurs s’être enquis des difficultés vécues par les journalistes.
S’exprimant sur la non application de la convention collective, la ministre s’est voulue rassurante quant à son ambition de régler cette question dans l’intérêt de tous.
"Je vous donne l’assurance que cette question va être réglée de façon pérenne et de façon définitive mais en toute objectivité avec non seulement le GEPCI mais également les syndicats de la profession et également le CNP parce qu’il faut savoir que le GEPCI a pris un engagement au niveau du CNP et nous allons voir comment nous pourrons concilier les positions non seulement des journalistes mais également du GEPCI", a-t-elle dit.
"Je l’ai dit au cours de ma visite que je rêve d’un pays dans lequel, à savoir la Côte d’Ivoire, les journalistes pourront percevoir un salaire de 500.000 FCFA et j’espère que ce rêve se réalisera pendant que je suis encore ministre. C’est une bataille que je vais mener avec les journalistes et évidemment avec les patrons de presse", a par ailleurs conclu Me Bamba-Lamine.
(AIP)
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