Man – Des étudiants français, dans le cadre d'un camp de vacances en Côte d'Ivoire, ont procédé, mercredi, à la pose de la première pierre d'un bâtiment de la deuxième école primaire de Dompleu, une localité de la commune de Man (Ouest, région).
Ce bâtiment devra contribuer au renforcement des capacités d'accueil de cette école dont le nombre de salles de classe passera désormais à neuf, devenant ainsi un groupe scolaire. Il comprendra, en outre, le bureau du directeur.
Ces étudiants sont membres de l’association "Afric@ction" contactée par l’ONG "Association les Amis de Man (AAM)".
Outre le bâtiment, il est prévu la réalisation d’une cantine et la réhabilitation des latrines de l’école de Dompleu.
Pour cela, les volontaires venus de Paris exhortent à la fusion des petites coopératives de production de vivriers et d’élevage à Dompleu, afin qu'elles deviennent une seule entité "viable et productive".
La présidente de Afric@ction, Lena Silberzahn, souligne qu'avec ce regroupement de coopératives, une quantité plus importante de vivres pourra être produite non seulement pour approvisionner la cantine de l’école mais aussi pour dégager un surplus commercialisable qui alimentera les caisses de la coopérative.
Ce bâtiment devra contribuer au renforcement des capacités d'accueil de cette école dont le nombre de salles de classe passera désormais à neuf, devenant ainsi un groupe scolaire. Il comprendra, en outre, le bureau du directeur.
Ces étudiants sont membres de l’association "Afric@ction" contactée par l’ONG "Association les Amis de Man (AAM)".
Outre le bâtiment, il est prévu la réalisation d’une cantine et la réhabilitation des latrines de l’école de Dompleu.
Pour cela, les volontaires venus de Paris exhortent à la fusion des petites coopératives de production de vivriers et d’élevage à Dompleu, afin qu'elles deviennent une seule entité "viable et productive".
La présidente de Afric@ction, Lena Silberzahn, souligne qu'avec ce regroupement de coopératives, une quantité plus importante de vivres pourra être produite non seulement pour approvisionner la cantine de l’école mais aussi pour dégager un surplus commercialisable qui alimentera les caisses de la coopérative.
