Yamoussoukro- "Aujourd’hui, la Côte d’Ivoire est dans la bonne direction et avance mieux", a déclaré le ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko, samedi à Yamoussoukro, lors de la cérémonie d’investiture du président de la Fédération nationale de la jeunesse communale de Côte d’Ivoire (FENUJECI).
"Il nous faut cependant quelques bonnes années pour que le ressenti soit plus large pour chacun de nous", a reconnu toutefois Hamed Bakayoko, parrain de la cérémonie d’investiture de Sylla Souleymane, organisée à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix.
Le ministre a expliqué aux jeunes que le Président Alassane Ouattara travaille pour eux. Il leur a dit que l’émergence prônée par le chef de l’Etat bénéficiera notamment à la jeunesse, ajoutant que dans quelques années, la Côte d’Ivoire sera comme le Maroc et l’Afrique du Sud.
"Nous avons un grand peuple et tout est possible", se convainc le ministre d’Etat. Hamed Bakayoko a conseillé aux jeunes de ne pas "gâcher" leur énergie et leur "bel âge", mais d’aimer la démocratie, d’avoir l’amour du pays et de revenir à une société de valeur où le maître-mot est le travail, de sorte que chacun puisse bénéficier du "fruit commun", en fonction de son travail.
nam/cmas
"Il nous faut cependant quelques bonnes années pour que le ressenti soit plus large pour chacun de nous", a reconnu toutefois Hamed Bakayoko, parrain de la cérémonie d’investiture de Sylla Souleymane, organisée à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix.
Le ministre a expliqué aux jeunes que le Président Alassane Ouattara travaille pour eux. Il leur a dit que l’émergence prônée par le chef de l’Etat bénéficiera notamment à la jeunesse, ajoutant que dans quelques années, la Côte d’Ivoire sera comme le Maroc et l’Afrique du Sud.
"Nous avons un grand peuple et tout est possible", se convainc le ministre d’Etat. Hamed Bakayoko a conseillé aux jeunes de ne pas "gâcher" leur énergie et leur "bel âge", mais d’aimer la démocratie, d’avoir l’amour du pays et de revenir à une société de valeur où le maître-mot est le travail, de sorte que chacun puisse bénéficier du "fruit commun", en fonction de son travail.
nam/cmas
