En prélude à la conférence des ministres africains en charge de l’Emploi qui s’ouvre, mardi, à Abidjan, un atelier, regroupant des experts africains et européens, a réfléchi au plan prévisionnel de coopération inter-Etats en vue de faciliter l’accès des jeunes africains au monde du travail, a constaté, lundi, APA dans la capitale économique ivoirienne.
Selon Germain Aguié, directeur de cabinet du ministre ivoirien de l'Emploi, si l'insertion professionnelle des jeunes est une gageure pour les Etats africains, seules des « actions concertées entre les différents pays, les différents ministères, les acteurs de la formation et les acteurs économiques » arriveront à donner des résultats probants.
Rappelant la réforme du système de Formation technique et professionnelle engagée en 2009, M. Aguié a invité les participants à l'atelier à engager des « réflexions et des actions » en profondeur sur les types de mesures et dispositifs à promouvoir pour assurer au plus grand nombre de jeunes à accéder à un emploi afin que ceux-ci gagnent décemment leur vie.
La Conférence ministérielle qui porte sur le thème « Formation, Insertion et emploi des jeunes en Afrique » se situe dans le cadre des activités du Pôle de Qualité Inter-Pays dans le domaine du Développement des compétences techniques et professionnelles (Pqip/Dctp), lancé en 2010 sous le leadership de la Côte d'Ivoire.
Ce pôle rassemble les ministres en charge de l'emploi et de la formation de 25 pays francophones, anglophones et lusophones issus des diverses sous-régions du continent africain.
Selon le Bureau international du travail (BIT), entre 2000 et 2007, la population active africaine a augmenté de 96 millions pendant que les emplois ont crû seulement de 63 millions.
Les jeunes constituent 60% de la population des chômeurs sans compter, ceux qui sont découragés ou engagés dans un sous-emploi visible, ont révélé la BIT et la Banque Mondiale.
Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)et la Banque africaine de développement (BAD), le développement professionnel futur des jeunes est largement déterminé par les compétences et l'expérience qu'ils accumulent ou au contraire, n'ont pas la chance d'acquérir au début de leur vie professionnelle.
Les jeunes qui entrent dans le monde du travail occupent dans leur grande majorité, des emplois précaires et n'ont de ce fait aucune garantie concernant la rentabilité et la permanence de leur activité professionnelle.
SB/hs/ls/APA
Selon Germain Aguié, directeur de cabinet du ministre ivoirien de l'Emploi, si l'insertion professionnelle des jeunes est une gageure pour les Etats africains, seules des « actions concertées entre les différents pays, les différents ministères, les acteurs de la formation et les acteurs économiques » arriveront à donner des résultats probants.
Rappelant la réforme du système de Formation technique et professionnelle engagée en 2009, M. Aguié a invité les participants à l'atelier à engager des « réflexions et des actions » en profondeur sur les types de mesures et dispositifs à promouvoir pour assurer au plus grand nombre de jeunes à accéder à un emploi afin que ceux-ci gagnent décemment leur vie.
La Conférence ministérielle qui porte sur le thème « Formation, Insertion et emploi des jeunes en Afrique » se situe dans le cadre des activités du Pôle de Qualité Inter-Pays dans le domaine du Développement des compétences techniques et professionnelles (Pqip/Dctp), lancé en 2010 sous le leadership de la Côte d'Ivoire.
Ce pôle rassemble les ministres en charge de l'emploi et de la formation de 25 pays francophones, anglophones et lusophones issus des diverses sous-régions du continent africain.
Selon le Bureau international du travail (BIT), entre 2000 et 2007, la population active africaine a augmenté de 96 millions pendant que les emplois ont crû seulement de 63 millions.
Les jeunes constituent 60% de la population des chômeurs sans compter, ceux qui sont découragés ou engagés dans un sous-emploi visible, ont révélé la BIT et la Banque Mondiale.
Selon l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)et la Banque africaine de développement (BAD), le développement professionnel futur des jeunes est largement déterminé par les compétences et l'expérience qu'ils accumulent ou au contraire, n'ont pas la chance d'acquérir au début de leur vie professionnelle.
Les jeunes qui entrent dans le monde du travail occupent dans leur grande majorité, des emplois précaires et n'ont de ce fait aucune garantie concernant la rentabilité et la permanence de leur activité professionnelle.
SB/hs/ls/APA