Des ex-professeurs contractuels supplient le ministère de l'Education nationale et de l’Enseignement technique de revoir sa position vis-à-vis de six de leurs camarades qui ne sont pas encore intégrés à la fonction publique.
"Nous venons de recevoir, chacun, notre numéro matricule. Ce qui fait de nous désormais des fonctionnaires. Nous remercions de tout notre cœur l'Etat de Côte d'Ivoire. Notre rêve, c'était d'être engagés à la fonction publique, car pendant que nous étions en activité comme contractuels, nous enviions tant les titulaires", ont confié à l’AIP les ex-contractuels, lors d'un entretien.
Mais parmi ces 56 ex-contractuels exerçant au lycée moderne de Ferkessédougou, six n'ont pas été retenus par la tutelle.
Selon eux, le malheur de leurs collègues a été de figurer sur une liste d'émargement remontée à la tutelle, suite à une grève lancée par le mouvement syndical, le 23 janvier.
Lorsque le mot d'ordre a été levé par la coordination nationale (mouvement des profs contractuels, réclamant la clarification de leur statut), des collègues qui n'étaient pas de service ce jour-là, avaient décidé d'en informer les autorités locales. Ils étaient au nombre de six.
"C'est leur liste d'émargement qui a été acheminée au ministère", affirment-ils, ajoutant que ces six collègues "ne figurent nulle part sur la liste des profs recrutés à la fonction publique".
"Nous supplions la tutelle de revoir sa position", clament-ils, assurant qu’ils n'envisagent aucun mouvement de soutien, car, selon eux, "personne ne veut prendre le risque de se faire radier à son tour".
Ti/kp
"Nous venons de recevoir, chacun, notre numéro matricule. Ce qui fait de nous désormais des fonctionnaires. Nous remercions de tout notre cœur l'Etat de Côte d'Ivoire. Notre rêve, c'était d'être engagés à la fonction publique, car pendant que nous étions en activité comme contractuels, nous enviions tant les titulaires", ont confié à l’AIP les ex-contractuels, lors d'un entretien.
Mais parmi ces 56 ex-contractuels exerçant au lycée moderne de Ferkessédougou, six n'ont pas été retenus par la tutelle.
Selon eux, le malheur de leurs collègues a été de figurer sur une liste d'émargement remontée à la tutelle, suite à une grève lancée par le mouvement syndical, le 23 janvier.
Lorsque le mot d'ordre a été levé par la coordination nationale (mouvement des profs contractuels, réclamant la clarification de leur statut), des collègues qui n'étaient pas de service ce jour-là, avaient décidé d'en informer les autorités locales. Ils étaient au nombre de six.
"C'est leur liste d'émargement qui a été acheminée au ministère", affirment-ils, ajoutant que ces six collègues "ne figurent nulle part sur la liste des profs recrutés à la fonction publique".
"Nous supplions la tutelle de revoir sa position", clament-ils, assurant qu’ils n'envisagent aucun mouvement de soutien, car, selon eux, "personne ne veut prendre le risque de se faire radier à son tour".
Ti/kp
