Abidjan, Le président statutaire de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), Moussa Traoré, a annoncé jeudi, lors d’un pont de presse à la maison de la presse à Abidjan, son retour à la présidence de l’UNJCI, justifiant que les six mois de sa suspension par le Conseil national de la presse sont passés.
"Entant que président élu de l’UNJCI et conformément à nos statuts et règlements intérieurs, j’ai le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant, je reprends mes fonctions de président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire de plein droit", a annoncé Moussa Traoré, indiquant prendre ses responsabilités pour éviter " une paralysie et une mort certaine" de l’organisation.
Selon lui, les démarches entreprises pour une passation des charges avec la présidente intérimaire de l’UNJCI, Abiba Dembélé, sont restées sans suite.
S’arc-boutant sur les textes de l’UNJCI, M. Traoré a par ailleurs annoncé la tenue d’un congrès pour s’évertuer à juguler la crise que traverse l’organisation.
"Je ne peux ignorer la crise que nous traversons et ses nombreuses conséquences, c’est pourquoi, usant des prérogatives que me confèrent nos textes, j’ai décidé de convoquer dans l’urgence un conseil exécutif, aux fins de convoquer un congrès extraordinaire dans les meilleurs délais", a-t-il exprimé.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l’entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘’L’Intelligent d’Abidjan’’, avaient écopé d’une "suspension d’écriture d’une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d’identité de journaliste professionnel’’.
Il leur était reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur le ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
Il s’était mis en congé de la présidence de l’UNJCI le 21 janvier 2014, laissant l’opportunité à la journaliste Abiba Dembélé, d’assurer l’intérimaire de la présidence de ladite organisation, rappelle-t-on.
(AIP)
gak/tm
"Entant que président élu de l’UNJCI et conformément à nos statuts et règlements intérieurs, j’ai le plaisir de vous annoncer qu’à partir de cet instant, je reprends mes fonctions de président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire de plein droit", a annoncé Moussa Traoré, indiquant prendre ses responsabilités pour éviter " une paralysie et une mort certaine" de l’organisation.
Selon lui, les démarches entreprises pour une passation des charges avec la présidente intérimaire de l’UNJCI, Abiba Dembélé, sont restées sans suite.
S’arc-boutant sur les textes de l’UNJCI, M. Traoré a par ailleurs annoncé la tenue d’un congrès pour s’évertuer à juguler la crise que traverse l’organisation.
"Je ne peux ignorer la crise que nous traversons et ses nombreuses conséquences, c’est pourquoi, usant des prérogatives que me confèrent nos textes, j’ai décidé de convoquer dans l’urgence un conseil exécutif, aux fins de convoquer un congrès extraordinaire dans les meilleurs délais", a-t-il exprimé.
Moussa Traoré et Alafé Wakili, gérant de l’entreprise de presse Socef-NTIC, éditrice du quotidien ‘’L’Intelligent d’Abidjan’’, avaient écopé d’une "suspension d’écriture d’une durée de 6 mois pour chacun, suivie du retrait subséquent de la carte d’identité de journaliste professionnel’’.
Il leur était reproché, selon le CNP, des faits de "tentative de corruption" d’un autre journaliste, Assalé Tiémoko, gérant du journal satirique ‘’l’Eléphant déchainé’’, aux fins de renoncer à la publication d’un article compromettant sur le ministre de l’Economie et des Finances, Kaba Nialé.
Il s’était mis en congé de la présidence de l’UNJCI le 21 janvier 2014, laissant l’opportunité à la journaliste Abiba Dembélé, d’assurer l’intérimaire de la présidence de ladite organisation, rappelle-t-on.
(AIP)
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