Moussa Traoré, le président statutaire de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI), revenu de ‘’ses congés’’, suite à la sanction du Conseil national de la presse (CNP) qui le frappait, a annoncé jeudi, dans un point de presse, la convocation prochaine ‘’d’un congrès extraordinaire’’ pour résoudre la crise qui secoue l’Union.
‘'Depuis le 21 juillet 2014, le CNP tirant les conséquences de la fin de ma sanction m'a restitué ma CIJP. Depuis cette date donc, je jouis de toutes mes prérogatives en tant que journaliste professionnel. A ce titre, j'ai repris mes fonctions de directeur de rédaction du quotidien l'Expression'', a déclaré Moussa Traoré.
Avant même l'expiration de la sanction (6 mois de suspension), M. Traoré a expliqué avoir écrit au ‘'Conseil d'administration de l'UNJCI pour lui demander de prendre des dispositions afin de procéder à la passation des charges entre la présidente intérimaire Habiba Dembélé et moi le moment venu'' , soulignant qu'il s'est ‘'heurté à un mur d'incompréhensions''.
‘'Face à cette situation inédite, en tant que président élu de l'UNJCI et conformément à nos statuts et règlements intérieurs, j'ai décidé de prendre mes responsabilités pour éviter une paralysie et une mort certaine de notre organisation'' a-t-il poursuivi, annonçant qu'à ‘'partir de cet instant, je reprends mes fonctions de Président de l'UNJCI de plein droit''.
Dans la foulée et usant des prérogatives que lui confèrent les textes de l'Union, Moussa Traoré ‘'décide de convoquer dans l'urgence un conseil exécutif au fin de convoquer un congrès extraordinaire'' dans les meilleurs délais.
Moussa Traoré s'était ‘'mis en congé'' de la présidence de l'UNJCI le 21 janvier 2014 suite à la sanction du CNP d'une ‘'suspension d'écriture d'une durée de 6 mois, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel'' dans l'affaire de ‘'tentative de corruption'' du journaliste Assalé Tiémoko.
HS/ls/APA
‘'Depuis le 21 juillet 2014, le CNP tirant les conséquences de la fin de ma sanction m'a restitué ma CIJP. Depuis cette date donc, je jouis de toutes mes prérogatives en tant que journaliste professionnel. A ce titre, j'ai repris mes fonctions de directeur de rédaction du quotidien l'Expression'', a déclaré Moussa Traoré.
Avant même l'expiration de la sanction (6 mois de suspension), M. Traoré a expliqué avoir écrit au ‘'Conseil d'administration de l'UNJCI pour lui demander de prendre des dispositions afin de procéder à la passation des charges entre la présidente intérimaire Habiba Dembélé et moi le moment venu'' , soulignant qu'il s'est ‘'heurté à un mur d'incompréhensions''.
‘'Face à cette situation inédite, en tant que président élu de l'UNJCI et conformément à nos statuts et règlements intérieurs, j'ai décidé de prendre mes responsabilités pour éviter une paralysie et une mort certaine de notre organisation'' a-t-il poursuivi, annonçant qu'à ‘'partir de cet instant, je reprends mes fonctions de Président de l'UNJCI de plein droit''.
Dans la foulée et usant des prérogatives que lui confèrent les textes de l'Union, Moussa Traoré ‘'décide de convoquer dans l'urgence un conseil exécutif au fin de convoquer un congrès extraordinaire'' dans les meilleurs délais.
Moussa Traoré s'était ‘'mis en congé'' de la présidence de l'UNJCI le 21 janvier 2014 suite à la sanction du CNP d'une ‘'suspension d'écriture d'une durée de 6 mois, suivie du retrait subséquent de la carte d'identité de journaliste professionnel'' dans l'affaire de ‘'tentative de corruption'' du journaliste Assalé Tiémoko.
HS/ls/APA
