Duékoué – Le délai accordé aux occupants illégaux de la forêt du Mont Péko pour évacuer le site n’excédera pas la date limite fixée à la fin du mois de décembre, ont indiqué, mercredi, le préfet de la région du Guémon, préfet de Duékoué, Sory Sangaré, et le directeur général de l’Office ivoirien des parcs et réserves (OIPR), Tondossama Adama.
Ils ont fait cette déclaration lors d’une réunion consacrée au bilan des activités du Parc national du Mont Péko.
Il ressort de cette rencontre avec le comité local de gestion de cette réserve, que malgré le fait qu’un délai qui expire avant janvier leur ait été accordé par le gouvernement, à leur demande, les occupants sont toujours dans le parc.
M. Tondossama a indiqué que ordre a été donné aux agents de l’OIPR de détruire les nouvelles plantations en création et d’interdire les nouveaux défrichements. Toutefois, les occupants sont autorisés à récolter les produits de leurs anciennes plantations, sans pour autant les entretenir.
Les deux autorités ont rassuré les populations riveraines sur le caractère transitoire des regroupements temporaires des déguerpis dans leurs villages.
Les gouvernements ivoirien et burkinabé ont convenu de mettre sur pied un comité paritaire pour travailler à atténuer les inconvénients liés à ce déguerpissement de quelque 25.000 personnes.
"Je voudrais saluer les autorités ivoiriennes pour les précautions prises pour gérer une situation aussi difficile", a déclaré mercredi le Premier ministre burkinabé, Luc Adolphe Tiao, à l’issue d’un conseil conjoint de gouvernements.
Situé à l’ouest du pays, le Parc national du mont Péko, d’une superficie de 36.000 ha, fait partie des huit parcs nationaux de Côte d’Ivoire. Il est renommé pour sa végétation et sa faune qui sont importantes et variées.
Ils ont fait cette déclaration lors d’une réunion consacrée au bilan des activités du Parc national du Mont Péko.
Il ressort de cette rencontre avec le comité local de gestion de cette réserve, que malgré le fait qu’un délai qui expire avant janvier leur ait été accordé par le gouvernement, à leur demande, les occupants sont toujours dans le parc.
M. Tondossama a indiqué que ordre a été donné aux agents de l’OIPR de détruire les nouvelles plantations en création et d’interdire les nouveaux défrichements. Toutefois, les occupants sont autorisés à récolter les produits de leurs anciennes plantations, sans pour autant les entretenir.
Les deux autorités ont rassuré les populations riveraines sur le caractère transitoire des regroupements temporaires des déguerpis dans leurs villages.
Les gouvernements ivoirien et burkinabé ont convenu de mettre sur pied un comité paritaire pour travailler à atténuer les inconvénients liés à ce déguerpissement de quelque 25.000 personnes.
"Je voudrais saluer les autorités ivoiriennes pour les précautions prises pour gérer une situation aussi difficile", a déclaré mercredi le Premier ministre burkinabé, Luc Adolphe Tiao, à l’issue d’un conseil conjoint de gouvernements.
Situé à l’ouest du pays, le Parc national du mont Péko, d’une superficie de 36.000 ha, fait partie des huit parcs nationaux de Côte d’Ivoire. Il est renommé pour sa végétation et sa faune qui sont importantes et variées.
