La faible représentation des femmes dans les milieux sociaux, politiques et économiques doit être corrigée si l’Afrique veut se développer pleinement, a déclaré lundi le vice-ministre sud-africain de l’intérieur, Fatima Chohan.
Fatima Chohan s’exprimait à Johannesburg à l’occasion d’un séminaire organisé pour les femmes par le Consortium pour les réfugiés et les migrants en Afrique du Sud (CoRMSA) dans le cadre des manifestations organisées à l’occasion du mois (août) dédié à la femme.
A cet égard, elle a expliqué que la création d’opportunités pour permettre aux femmes d’apporter leur contribution à l’économie ne ferait qu’améliorer leurs revenus, tout en aidant les à sortir de la pauvreté.
Faisant part de sa préoccupation au sujet du faible nombre de femmes dans les postes de direction, elle a ajouté que “la contribution des femmes africaines à l’économie formelle est sous-estimée”.
Selon la dernière étude de la Banque mondiale sur les entreprises, il n’y a qu’une seule africaine sur les 26 femmes employées à des postes de direction, contre un pour six hommes.
NM/tjm/fss/od/APA
Fatima Chohan s’exprimait à Johannesburg à l’occasion d’un séminaire organisé pour les femmes par le Consortium pour les réfugiés et les migrants en Afrique du Sud (CoRMSA) dans le cadre des manifestations organisées à l’occasion du mois (août) dédié à la femme.
A cet égard, elle a expliqué que la création d’opportunités pour permettre aux femmes d’apporter leur contribution à l’économie ne ferait qu’améliorer leurs revenus, tout en aidant les à sortir de la pauvreté.
Faisant part de sa préoccupation au sujet du faible nombre de femmes dans les postes de direction, elle a ajouté que “la contribution des femmes africaines à l’économie formelle est sous-estimée”.
Selon la dernière étude de la Banque mondiale sur les entreprises, il n’y a qu’une seule africaine sur les 26 femmes employées à des postes de direction, contre un pour six hommes.
NM/tjm/fss/od/APA
