Soumaïla Kouassi Bredoumy, Directeur général des Productions et de la sécurité alimentaire au ministère ivoirien de l’agriculture a déclaré, vendredi, que la Côte d’Ivoire n’est pas en crise alimentaire mais toutes ses zones sont sous ‘’pression alimentaire’’.
M. Bredoumy s'exprimait à l'ouverture, à Abidjan, de la 29ème journée du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) autour du thème ‘' Relever le défi de la transition démographique pour une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable au Sahel et en Afrique de l'Ouest''.
Présentant la situation alimentaire de la Côte d'Ivoire, M. Bredoumy a indiqué que les moyens de production déstructurés, ont mis des ‘'zones sous pression alimentaire''. Cependant, selon lui, le Programme national d'investissement agricole (PNIA) permettra d'avoir une croissance agricole de 9%.
‘' Selon une étude, les produits vivriers permettent de mieux lutter contre la pauvreté que les produits de rente. Et le budget d'investissement du secteur agricole est passé de 44,5 milliards en 2010 à 80, 3 milliards FCFA en 2013'' a-t-il souligné, relevant un taux ‘'de pauvreté de 70% au Nord, au Nord-est et au Centre'' du pays.
Toutefois, rassure le directeur des productions et de la sécurité alimentaire, de ‘' bonnes perspectives'' s'annoncent à l'horizon par la mise en œuvre du PNIA avec la certification des semences, la réglementation du secteur des engrais…
M. Bredoumy s'exprimait à l'ouverture, à Abidjan, de la 29ème journée du Comité permanent inter-Etats de lutte contre la sécheresse dans le Sahel (CILSS) autour du thème ‘' Relever le défi de la transition démographique pour une sécurité alimentaire et nutritionnelle durable au Sahel et en Afrique de l'Ouest''.
Présentant la situation alimentaire de la Côte d'Ivoire, M. Bredoumy a indiqué que les moyens de production déstructurés, ont mis des ‘'zones sous pression alimentaire''. Cependant, selon lui, le Programme national d'investissement agricole (PNIA) permettra d'avoir une croissance agricole de 9%.
‘' Selon une étude, les produits vivriers permettent de mieux lutter contre la pauvreté que les produits de rente. Et le budget d'investissement du secteur agricole est passé de 44,5 milliards en 2010 à 80, 3 milliards FCFA en 2013'' a-t-il souligné, relevant un taux ‘'de pauvreté de 70% au Nord, au Nord-est et au Centre'' du pays.
Toutefois, rassure le directeur des productions et de la sécurité alimentaire, de ‘' bonnes perspectives'' s'annoncent à l'horizon par la mise en œuvre du PNIA avec la certification des semences, la réglementation du secteur des engrais…
