Le président ivoirien Alassane Ouattara a réitéré dimanche à Prikro, dans le centre-est de la Côte d'Ivoire, sa candidature à la prochaine élection présidentielle prévue pour octobre 2015.
M. Ouattara qui a débuté une visite d'Etat dans la région de son allié Henri Konan Bédié a exprimé sa volonté de briguer un second mandat afin d'achever les "grands chantiers" ouverts pour l' atteinte de l'émergence du pays à l'horizon 2020.
"J'ai décidé de demander à nos compatriotes de me donner un second mandat l'année prochaine pour terminer le travail que nous avons commencé ensemble", a-t-il déclaré.
"Certains s'agitent mais sachez que tout se passera bien" , a rassuré le chef de l'Etat, prônant l'union, la paix et l'entente entre tous les fils et toutes les filles de la Côte d'Ivoire.
Lors d'une tournée précédente à l'intérieur du pays, le président ivoirien Alassane Ouattara avait émis le voeu d'être candidat à sa propre succession et avait demandé le suffrage de ses concitoyens.
Des observateurs souhaitent voir "un scrutin crédible, transparent et inclusif" afin de refermer la "parenthèse électorale douloureuse" de 2010 et 2011.
M. Ouattara qui a débuté une visite d'Etat dans la région de son allié Henri Konan Bédié a exprimé sa volonté de briguer un second mandat afin d'achever les "grands chantiers" ouverts pour l' atteinte de l'émergence du pays à l'horizon 2020.
"J'ai décidé de demander à nos compatriotes de me donner un second mandat l'année prochaine pour terminer le travail que nous avons commencé ensemble", a-t-il déclaré.
"Certains s'agitent mais sachez que tout se passera bien" , a rassuré le chef de l'Etat, prônant l'union, la paix et l'entente entre tous les fils et toutes les filles de la Côte d'Ivoire.
Lors d'une tournée précédente à l'intérieur du pays, le président ivoirien Alassane Ouattara avait émis le voeu d'être candidat à sa propre succession et avait demandé le suffrage de ses concitoyens.
Des observateurs souhaitent voir "un scrutin crédible, transparent et inclusif" afin de refermer la "parenthèse électorale douloureuse" de 2010 et 2011.
