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Société Publié le dimanche 28 septembre 2014 | AIP

CI_Europe/59% des Français pensent que Valérie Trierweiler a eu tort de publier son livre sur François Hollande (sondage)

Abidjan – Selon un sondage réalisé par internet par Odoxa les 25 et 26 septembre auprès d'un échantillon de 1.001 personnes, représentatif de la population française adulte, 59% des Français pensent que Valérie Trierweiler a eu tort de publier son livre "Merci pour ce moment", un brûlot contre son ex-compagnon, le président François Hollande.

La sortie de "Merci pour ce moment" a fait l'effet d'une bombe politico-médiatique. Ce brûlot de Valérie Trierweiler à l'encontre de François Hollande est le carton littéraire de la rentrée. Les Français se l'arrachent mais paradoxalement, l'image de la journaliste de Paris Match auprès de la population est désastreuse.

Ainsi, selon un sondage Odoxa publié dimanche dans Le Parisien/Aujourd'hui en France, l'ancienne compagne de François Hollande est jugée "ambitieuse" par 78% des personnes interrogées, "impulsive" (76%), "autoritaire" (73%), "incontrôlable" (67%), "arrogante" (65%) et même "arriviste" (63%).

Parmi les sondés, seuls 27% la trouvent "proche des gens", 25% "sympathique". Globalement, cette même enquête révèle que 69% des Français ont une mauvaise opinion de Valérie Trierweiler.

Autre paradoxe, si son livre s'écoule par milliers d'exemplaires, 59% des Français estiment qu'elle a eu tort de le publier. Un livre que 4% des sondés ont lu, tandis que 34% en "ont lu ou entendu des passages" et que 60% en ont "vaguement entendu parler".

Seuls 2% n'en ont "pas du tout entendu parler". De plus, 71% des sondés déclarent que cet ouvrage "n'a pas changé l'image" qu'ils avaient de François Hollande, 26% qu'il "a détérioré" cette image et 3% qu'il l'a "changée en bien".

Enfin, 60% des personnes interrogées préfèrent qu'à l'avenir les conjoint(e)s de président de la République "ne jouent plus aucun rôle et que plus aucun moyen ne leur soit attribué par la République", contre 25% qui préfèrent que "soit créé un véritable statut définissant officiellement leur rôle" et 15% qui veulent que "les choses restent comme elles sont aujourd'hui".

(AIP)
cmas
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