Un atelier régional de validation de l’étude sur l’évaluation de l’état de la route sur le corridor Abidjan-Lagos a réuni les délégués de chaque pays membre ce mardi 14 octobre 2004 à Lomé.
Conformément à l’indice de rugosité international de cette année, les 5 pays dont le Togo, le Benin, le Nigeria, le Ghana et la Cote d’Ivoire, évaluent l’état de la route sur le corridor Abidjan-Lagos.
Ce projet a pour objectif de faciliter la libre circulation des personnes et des biens le long du corridor Abidjan-Lagos. La longueur du corridor est évaluée à un millier de kilomètres, à travers la réduction des barrières physiques et non physiques.
Le projet a pour but également d’ accroître la compétitivité des ports situés le long du corridor et de réduire l’impact du VIH/Sida sur les communautés de transport et de commerce entre Abidjan et Lagos.
Le Secrétaire exécutif de l’Organisation du corridor Abidjan-Lagos, M. Idrissa Kone a, au cours de son allocution, déclaré que : ‘’ Dans le cadre de ce projet, l’Organisation du Corridor Abidjan-Lagos a reçu mandat de la Banque mondiale et de la Cedeao pour mettre en œuvre
un programme de lutte contre le Vih/Sida et faire le suivi de l’évaluation des performances du corridor’’.
Le représentant de la Banque mondiale, M. Godwill Tange a montré l’importance de ce projet. ‘’L’atelier qui nous rassemble va permettre de valider les résultats de l’étude sur l’évaluation de l’Etat de la route sur le corridor Abidjan-Lagos’’.
Rappelons que c’est le groupement AGCET/ BNETD qui a réalisé les études.
Conformément à l’indice de rugosité international de cette année, les 5 pays dont le Togo, le Benin, le Nigeria, le Ghana et la Cote d’Ivoire, évaluent l’état de la route sur le corridor Abidjan-Lagos.
Ce projet a pour objectif de faciliter la libre circulation des personnes et des biens le long du corridor Abidjan-Lagos. La longueur du corridor est évaluée à un millier de kilomètres, à travers la réduction des barrières physiques et non physiques.
Le projet a pour but également d’ accroître la compétitivité des ports situés le long du corridor et de réduire l’impact du VIH/Sida sur les communautés de transport et de commerce entre Abidjan et Lagos.
Le Secrétaire exécutif de l’Organisation du corridor Abidjan-Lagos, M. Idrissa Kone a, au cours de son allocution, déclaré que : ‘’ Dans le cadre de ce projet, l’Organisation du Corridor Abidjan-Lagos a reçu mandat de la Banque mondiale et de la Cedeao pour mettre en œuvre
un programme de lutte contre le Vih/Sida et faire le suivi de l’évaluation des performances du corridor’’.
Le représentant de la Banque mondiale, M. Godwill Tange a montré l’importance de ce projet. ‘’L’atelier qui nous rassemble va permettre de valider les résultats de l’étude sur l’évaluation de l’Etat de la route sur le corridor Abidjan-Lagos’’.
Rappelons que c’est le groupement AGCET/ BNETD qui a réalisé les études.
