L’ancien président burundais, Pierre Buyoya, s’est déclaré officiellement candidat au poste de secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie(OIF), indique un communiqué de presse dont l’AIP a reçu copie, jeudi.
L’OIF désignera son nouveau secrétaire général les 28 et 29 novembre prochains et depuis avril dernier, M. Buyoya qui a représenté l’institution dans plusieurs missions d’observation électorale à travers le continent africain, est candidat à cette haute fonction.
Présent à Abidjan ce jeudi, M. Buyoya, actuellement représentant de l’Union africaine pour la Mali et le Sahel (MISAHEL), a dévoilé lors d’une conférence de presse son programme dénommé "Ambition pour la Francophonie".
Il y expose les différents aspects de la Francophonie comme une communauté de valeurs, une composante des relations internationales modernes, une organisation politique, une puissance pacifique et un instrument au service du développement.
M. Buyoya met aussi en exergue la dimension économique de l’OIF, tout en voyant la mondialisation comme une chance pour l’institution.
"Tout au long de ma carrière, je n’ai eu de cesse de servir : servir mon pays, servir l’Afrique, servir la Francophonie. Telle reste aujourd’hui mon ambition : mettre cette expérience, acquise aux plus hauts niveaux de responsabilité, au service de l’OIF", a-t-il expliqué.
(AIP)
amak/kkp/kam
L’OIF désignera son nouveau secrétaire général les 28 et 29 novembre prochains et depuis avril dernier, M. Buyoya qui a représenté l’institution dans plusieurs missions d’observation électorale à travers le continent africain, est candidat à cette haute fonction.
Présent à Abidjan ce jeudi, M. Buyoya, actuellement représentant de l’Union africaine pour la Mali et le Sahel (MISAHEL), a dévoilé lors d’une conférence de presse son programme dénommé "Ambition pour la Francophonie".
Il y expose les différents aspects de la Francophonie comme une communauté de valeurs, une composante des relations internationales modernes, une organisation politique, une puissance pacifique et un instrument au service du développement.
M. Buyoya met aussi en exergue la dimension économique de l’OIF, tout en voyant la mondialisation comme une chance pour l’institution.
"Tout au long de ma carrière, je n’ai eu de cesse de servir : servir mon pays, servir l’Afrique, servir la Francophonie. Telle reste aujourd’hui mon ambition : mettre cette expérience, acquise aux plus hauts niveaux de responsabilité, au service de l’OIF", a-t-il expliqué.
(AIP)
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