Les secrétaires généraux de préfecture et les sous-préfets des régions de Gbèkè et de Hambol ont bénéficié, vendredi et samedi, à Bouaké, d’un renforcement de leurs connaissances juridiques sur le foncier, la protection juridique et judiciaire des mineurs et les violences basées sur le genre dans le cadre du deuxième volet du projet d’appui à l’amélioration de l’accès au droit et à la justice en Côte d’Ivoire (PALAJ).
Initié par la clinique juridique de Bouaké, un centre d’information et d’orientation des populations, cet atelier, selon la directrice de cette structure, Mme Constance Tokpa, devrait aider les participants à régler plus efficacement les conflits fonciers, leur permettre de s’impliquer davantage dans la protection des droits des mineurs et dans la lutte contre les violence basées sur le genres.
La secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Mme Loboué Amani a salué l’initiative de cet atelier à leur intention, expliquant que les membres du corps préfectoral ont besoin d’une meilleure connaissance dans des domaines variés, en raison de leur place dans l’encadrement des populations locales et dans le processus de développement des régions.
La formation a été mise en œuvre par l’ONG Transparency justice et assurée par son secrétaire général, le magistrat hors-hiérarchie, M. Djédjet Golly Séraphin, vice-président du tribunal du commerce d’Abidjan.
Financé par l’Union Européenne, l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, le PNUD et UNICEF, le projet d’appui à l’amélioration de l’accès au droit et à la justice en Côte d’Ivoire vise à rapprocher la justice des justiciables à travers plusieurs activités dont l’information juridique des populations, la formation et le renforcement des capacités.
Initié par la clinique juridique de Bouaké, un centre d’information et d’orientation des populations, cet atelier, selon la directrice de cette structure, Mme Constance Tokpa, devrait aider les participants à régler plus efficacement les conflits fonciers, leur permettre de s’impliquer davantage dans la protection des droits des mineurs et dans la lutte contre les violence basées sur le genres.
La secrétaire général de la préfecture de Bouaké, Mme Loboué Amani a salué l’initiative de cet atelier à leur intention, expliquant que les membres du corps préfectoral ont besoin d’une meilleure connaissance dans des domaines variés, en raison de leur place dans l’encadrement des populations locales et dans le processus de développement des régions.
La formation a été mise en œuvre par l’ONG Transparency justice et assurée par son secrétaire général, le magistrat hors-hiérarchie, M. Djédjet Golly Séraphin, vice-président du tribunal du commerce d’Abidjan.
Financé par l’Union Européenne, l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire, le PNUD et UNICEF, le projet d’appui à l’amélioration de l’accès au droit et à la justice en Côte d’Ivoire vise à rapprocher la justice des justiciables à travers plusieurs activités dont l’information juridique des populations, la formation et le renforcement des capacités.
