Man – L’ONG Projustice a installé, lundi, à Man, une cellule pilote du projet "pôle judiciaire pénal en juridiction" dans le cadre de la mise en œuvre de son programme pour le renforcement du système judiciaire en Côte d’Ivoire.
Le Pôle judiciaire pénal permet de mettre en place des pratiques d’amélioration et modernisation du fonctionnement de la chaîne pénale don les performances sont placées sous la responsabilité directe des chefs de juridictions, indiquent les initiateurs du projet.
L’idée est de créer une plate-forme d’échange au sein de laquelle, les différents acteurs de la chaîne judiciaire pénale, de l’officier de police judiciaire au président du tribunal en passant par le parquet et le greffe, se retrouvent pour analyser les pratiques en vigueur et faire des propositions, en vue d’améliorer le système.
Il s’agit d’institutionnaliser les échanges pour "prioriser" ensemble les investigations et les délais de celles-ci pour les infranctions troublant le plus fortement l’ordre public, d’expliquer la politique pénale du Parquet et les questions d’organisation de la chaîne pénale.
Egalement, il est question "d’échanger sur les contraintes de chaque service (Justice/OPJ) pour trouvers les meileures solutions et pratiques pour atteindre la manifestation de la vérité dans un délai raisonnable, sans perte inutile de temps, d’expliquer le bureau d’ordre pénal et ses missions, explique-t-on entre autres.
Clôturant la première séance d’échages, le président du Tribunal de Première instance de Man, Daguo Drissa, a souhaité que l’expérience qui vise à gagner en temps et sécuriser les procédures pénales soit élargie au tribunal civil.
Les officiers de police judiciaires participant à la session ont été invités à être assidus aux séances d’échanges dont la prochaine est fixée au 8 décembre prochain.
gem/ask
Le Pôle judiciaire pénal permet de mettre en place des pratiques d’amélioration et modernisation du fonctionnement de la chaîne pénale don les performances sont placées sous la responsabilité directe des chefs de juridictions, indiquent les initiateurs du projet.
L’idée est de créer une plate-forme d’échange au sein de laquelle, les différents acteurs de la chaîne judiciaire pénale, de l’officier de police judiciaire au président du tribunal en passant par le parquet et le greffe, se retrouvent pour analyser les pratiques en vigueur et faire des propositions, en vue d’améliorer le système.
Il s’agit d’institutionnaliser les échanges pour "prioriser" ensemble les investigations et les délais de celles-ci pour les infranctions troublant le plus fortement l’ordre public, d’expliquer la politique pénale du Parquet et les questions d’organisation de la chaîne pénale.
Egalement, il est question "d’échanger sur les contraintes de chaque service (Justice/OPJ) pour trouvers les meileures solutions et pratiques pour atteindre la manifestation de la vérité dans un délai raisonnable, sans perte inutile de temps, d’expliquer le bureau d’ordre pénal et ses missions, explique-t-on entre autres.
Clôturant la première séance d’échages, le président du Tribunal de Première instance de Man, Daguo Drissa, a souhaité que l’expérience qui vise à gagner en temps et sécuriser les procédures pénales soit élargie au tribunal civil.
Les officiers de police judiciaires participant à la session ont été invités à être assidus aux séances d’échanges dont la prochaine est fixée au 8 décembre prochain.
gem/ask
