Gogoko (Lakota) – Un jeune tisserand de pagnes traditionnels ‘’Akan’’, le Kita (Kinté), Konan Kouassi Roger, 32 ans, appelle les jeunes à s’intéresser à ce métier, qui selon lui, "nourrit son homme" et à contribuer ainsi à pérenniser le tissage de pagnes traditionnels.
Konan Roger s'est installé à Gogoko, où ses parents s’adonnent à des activités agricoles, après avoir suivi une formation dans le village de Nananfouè-Assanou, dans la sous-préfecture de Houphouët-Djèkro, département de Yamoussoukro, depuis 2002, indique-t-on.
"Avant nos grands parents tissaient le pagne traditionnel Baoulé et gagnaient bien leur vie, mais de nos jours les jeunes ont tendance à négliger ce secteur d’activité, et comme cela tend à disparaître moi j’ai décidé de me lancer dans ce métier en comptant gagner ma vie, mais aussi contribuer à le pérenniser’’, a-t-il expliqué, mercredi, à l’AIP.
Selon lui, il y a plusieurs qualités de pagne, il y a le pagne Kita Escalier, le Kita Adjalidô et le pagne Kôknou. "Je peux faire des dessins de basilique où le portrait d’un homme comme motifs’’, a-t-il dit.
ja/ask
Konan Roger s'est installé à Gogoko, où ses parents s’adonnent à des activités agricoles, après avoir suivi une formation dans le village de Nananfouè-Assanou, dans la sous-préfecture de Houphouët-Djèkro, département de Yamoussoukro, depuis 2002, indique-t-on.
"Avant nos grands parents tissaient le pagne traditionnel Baoulé et gagnaient bien leur vie, mais de nos jours les jeunes ont tendance à négliger ce secteur d’activité, et comme cela tend à disparaître moi j’ai décidé de me lancer dans ce métier en comptant gagner ma vie, mais aussi contribuer à le pérenniser’’, a-t-il expliqué, mercredi, à l’AIP.
Selon lui, il y a plusieurs qualités de pagne, il y a le pagne Kita Escalier, le Kita Adjalidô et le pagne Kôknou. "Je peux faire des dessins de basilique où le portrait d’un homme comme motifs’’, a-t-il dit.
ja/ask
