Gagnoa – Dame Diakité Tiranké, trafiquante de munitions, a été condamnée mardi à Gagnoa, à 12 moins de prison ferme et à 300.000 FCFA d’amende par le tribunal, en son rôle de l’audience des flagrants délits, pour détention illégale, sans autorisation administrative, de munitions de type calibre 12.
Le jour des faits, en novembre 2012, dame Diakité Tiranké se retrouve à bord d’un véhicule de transport en commun en provenance de Gagnoa. Au niveau d’un barrage sur l’axe Lakota-Gagnoa, les forces de l’ordre décident de soumettre véhicule, passagers et bagages à une fouille systématique.
A l’issue de cette fouille, 549 munitions du type calibre 12 sont saisies sur la voyageuse dont le dossier passait mardi en retenu devant le tribunal.
Pour le procureur, vu l’énorme quantité de munitions saisie en possession de l’accusée qui ne détenait aucune autorisation administrative, les faits sont établies. Il a donc requis une peine d’emprisonnement ferme et une amende de 300.000 FCFA à l’encontre de la trafiquante de munitions.
Après une concertation entre la présidente du tribunal et ses deux assesseurs (des dames), le verdict, comme l’épée de Damoclès, est donc tombé sur la tête de la prévenue qui a brillé par son absence à son procès.
ja/ask
Le jour des faits, en novembre 2012, dame Diakité Tiranké se retrouve à bord d’un véhicule de transport en commun en provenance de Gagnoa. Au niveau d’un barrage sur l’axe Lakota-Gagnoa, les forces de l’ordre décident de soumettre véhicule, passagers et bagages à une fouille systématique.
A l’issue de cette fouille, 549 munitions du type calibre 12 sont saisies sur la voyageuse dont le dossier passait mardi en retenu devant le tribunal.
Pour le procureur, vu l’énorme quantité de munitions saisie en possession de l’accusée qui ne détenait aucune autorisation administrative, les faits sont établies. Il a donc requis une peine d’emprisonnement ferme et une amende de 300.000 FCFA à l’encontre de la trafiquante de munitions.
Après une concertation entre la présidente du tribunal et ses deux assesseurs (des dames), le verdict, comme l’épée de Damoclès, est donc tombé sur la tête de la prévenue qui a brillé par son absence à son procès.
ja/ask
