Il y a dix ans, le camp militaire français était bombardé par l'armée ivoirienne, et Paris ripostait. Devant la juge Kheris, l'ex-président a livré sa version des faits. JA s'est procuré les PV inédits de son audition.
C'était il y a dix ans. Le 6 novembre 2004, deux Sukhoï-25 pilotés par deux Biélorusses, secondés par deux copilotes ivoiriens, décollaient de Yamoussoukro. Direction Bouaké, fief des Forces nouvelles (Fn), dans le centre de la Côte d'Ivoire.
Après un survol du lycée Descartes, où l'armée française a établi un camp, l'un des avions fait feu, tuant 9 militaires et 1 civil américain, et blessant 38 soldats. Le lendemain, Paris détruit l'aviation ivoirienne, provoquant une vague de manifestations antifrançaises à Abidjan, dont l'une devant... suite de l'article sur Soir Info
C'était il y a dix ans. Le 6 novembre 2004, deux Sukhoï-25 pilotés par deux Biélorusses, secondés par deux copilotes ivoiriens, décollaient de Yamoussoukro. Direction Bouaké, fief des Forces nouvelles (Fn), dans le centre de la Côte d'Ivoire.
Après un survol du lycée Descartes, où l'armée française a établi un camp, l'un des avions fait feu, tuant 9 militaires et 1 civil américain, et blessant 38 soldats. Le lendemain, Paris détruit l'aviation ivoirienne, provoquant une vague de manifestations antifrançaises à Abidjan, dont l'une devant... suite de l'article sur Soir Info