Abidjan - La direction générale du groupe Ecobank a révélé, jeudi, à Abidjan un produit net bancaire (PNB), pour les neuf premiers mois de l’année 2014, estimé à 1,65 milliards de dollars US, en hausse de 14% par rapport à la même période de l’année précédente.
Cette hausse du PNB qui a eu un impact positif sur les résultats avant impôts du groupe bancaire panafricain évalués au 30 septembre 2014 à 408 millions de dollars US, en progression de 28% par rapport à 2013.
S’inscrivant dans la même tendance, la directrice générale Finance du groupe, Laurence Do Rego a indiqué que les prêts à la clientèle s’élèvent à la même période à 12,1 milliards de dollars US, en hausse de 15% par rapport à l’année précédente.
Cette performance, a souligné le directeur général, Albert Essien, est le signe de la restauration de la confiance des actionnaires et de la clientèle, mais aussi de la restauration de la gouvernance et de leadership à Ecobank Transnational Incorporated (ETI).
Pour améliorer ses capitaux propres, ETI a cédé 20% de parts à Nedbank, l’une des quatre plus grandes banques sud-africaines, et environ 17% de participations à Qatar National Bank (QNB).
D’ailleurs, cette ouverture du capital d’Ecobank à la banque du Qatar est une occasion, selon M. Essien, pour son groupe de développer une relation de partenariat avec les Etats du Golfe.
Présente dans 36 pays de l’Afrique subsaharienne, la région où la croissance ne cesse de s’accélérer, Ecobank Transnational Incorporated ambitionne de devenir une institution bancaire mondiale tout en contribuant à l’intégration au niveau du continent avec l’implantation de deux succursales à l’Angola et en Ethiopie.
Avec un effectif de plus de 20.000 agents et un chiffre d’affaires de quelque 23,4 milliards de dollars US, le groupe Ecobank est coté sur trois places boursières, à savoir la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), la Ghana Stock Exchange (GSE) et la Nigeria Stock Exchange (NSE).
Le plus actif en volume, le titre ETI a aujourd’hui le faible cours sur le marché financier de l’espace UEMOA, suite à un fractionnement du capital social.
"Les résultats du groupe ne reflètent pas la réalité avec le cours de l’action ETI", reconnait le DG Albert Essien, annonçant la mise en place d’une stratégie de communication pour créer de la valeur au profit des actionnaires.
(AIP)
kp
Cette hausse du PNB qui a eu un impact positif sur les résultats avant impôts du groupe bancaire panafricain évalués au 30 septembre 2014 à 408 millions de dollars US, en progression de 28% par rapport à 2013.
S’inscrivant dans la même tendance, la directrice générale Finance du groupe, Laurence Do Rego a indiqué que les prêts à la clientèle s’élèvent à la même période à 12,1 milliards de dollars US, en hausse de 15% par rapport à l’année précédente.
Cette performance, a souligné le directeur général, Albert Essien, est le signe de la restauration de la confiance des actionnaires et de la clientèle, mais aussi de la restauration de la gouvernance et de leadership à Ecobank Transnational Incorporated (ETI).
Pour améliorer ses capitaux propres, ETI a cédé 20% de parts à Nedbank, l’une des quatre plus grandes banques sud-africaines, et environ 17% de participations à Qatar National Bank (QNB).
D’ailleurs, cette ouverture du capital d’Ecobank à la banque du Qatar est une occasion, selon M. Essien, pour son groupe de développer une relation de partenariat avec les Etats du Golfe.
Présente dans 36 pays de l’Afrique subsaharienne, la région où la croissance ne cesse de s’accélérer, Ecobank Transnational Incorporated ambitionne de devenir une institution bancaire mondiale tout en contribuant à l’intégration au niveau du continent avec l’implantation de deux succursales à l’Angola et en Ethiopie.
Avec un effectif de plus de 20.000 agents et un chiffre d’affaires de quelque 23,4 milliards de dollars US, le groupe Ecobank est coté sur trois places boursières, à savoir la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM), la Ghana Stock Exchange (GSE) et la Nigeria Stock Exchange (NSE).
Le plus actif en volume, le titre ETI a aujourd’hui le faible cours sur le marché financier de l’espace UEMOA, suite à un fractionnement du capital social.
"Les résultats du groupe ne reflètent pas la réalité avec le cours de l’action ETI", reconnait le DG Albert Essien, annonçant la mise en place d’une stratégie de communication pour créer de la valeur au profit des actionnaires.
(AIP)
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