Dimbokro – Les employés de l’agroalimentaire Olam-Ivoire qui ont observé un arrêt de travail de deux jours pour réclamer l’application du SMIG, ont repris le travail vendredi, à la suite d’une médiation du préfet de Dimbokro, Dr N’Guessan Obouo Jacques Stéphane qu’ils considèrent comme leur père.
"Nous avons entamé une grève illimitée depuis mercredi. Le préfet de région, notre papa, à qui nous nous sommes confiés, a dit que notre combat est le sien et que nous devons désigner des camarades pour participer à la conduite des négociations avec lui… J’avoue que si nous refusons de l’écouter, nous n’aurons plus d’interlocuteur crédible. Nous sommes donc à son écoute et acceptons de reprendre le travail en attendant" l’aboutissement des négociations, a déclaré Assandé Krou Hilaire, délégué principal des grévistes.
A entendre le directeur technique d’Olam-Ivoire, les grévistes ont respecté leur engagement vis-à-vis du préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro.
"Ce matin, dès 6h, j’ai fait la ronde des unités de production, j’ai trouvé des employés amassés aux portails qui ont exprimé le désir de rentrer pour reprendre le travail. J’ai donc pris quelques précautions, en demandant l’appui de la police qui a placé deux agents au moins à l’entrée de chaque unité", a-t-il précisé.
Les employés d’Olam-Ivoire de Dimbokro ont entamé cet arrêt de travail pour réclamer l’application du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) dans le calcul de leurs salaires, à compter de fin décembre au plus tard.
(AIP)
Zgrp/kp
"Nous avons entamé une grève illimitée depuis mercredi. Le préfet de région, notre papa, à qui nous nous sommes confiés, a dit que notre combat est le sien et que nous devons désigner des camarades pour participer à la conduite des négociations avec lui… J’avoue que si nous refusons de l’écouter, nous n’aurons plus d’interlocuteur crédible. Nous sommes donc à son écoute et acceptons de reprendre le travail en attendant" l’aboutissement des négociations, a déclaré Assandé Krou Hilaire, délégué principal des grévistes.
A entendre le directeur technique d’Olam-Ivoire, les grévistes ont respecté leur engagement vis-à-vis du préfet de la région du N’Zi et du département de Dimbokro.
"Ce matin, dès 6h, j’ai fait la ronde des unités de production, j’ai trouvé des employés amassés aux portails qui ont exprimé le désir de rentrer pour reprendre le travail. J’ai donc pris quelques précautions, en demandant l’appui de la police qui a placé deux agents au moins à l’entrée de chaque unité", a-t-il précisé.
Les employés d’Olam-Ivoire de Dimbokro ont entamé cet arrêt de travail pour réclamer l’application du salaire minimum interprofessionnel garanti (SMIG) dans le calcul de leurs salaires, à compter de fin décembre au plus tard.
(AIP)
Zgrp/kp
