Daloa - Une quarantaine d’agents dont des directeurs départementaux du ministère des Ressources animales et halieutiques du centre-ouest et du sud-ouest, participent depuis lundi, à un atelier de renforcement de capacités en santé animale et Hygiène publique vétérinaire, en vue de contribuer plus efficacement à la surveillance épidémiologique des maladies.
L’objectif de cet atelier de six jours, organisé par le PASA-HPV (Projet d’amélioration de la Santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire), est d’outiller selon le coordonnateur du projet, Dr Dagnogo Komissiri, les agents travaillant sur le terrain à la reconnaissance des maladies, aux techniques de prélèvement de sang et de conditionnement des échantillons, afin d’avoir la réactivité nécessaire dans la lutte contre les maladies animales.
Outre la santé animale, l’hygiène publique vétérinaire figure en bonne place au tableau de cet atelier. Celle-ci consiste à protéger le consommateur à travers l’inspection de toutes les denrées mises à disposition dans le but d’éviter des contaminations et des intoxications.
Au dire du coordonnateur du PASA-HPV, "on l’ignore bien souvent, mais c’est aux vétérinaires que revient par une loi de 1996, le devoir de contrôler tout ce qui est denrée animale et d’origine animale mis à la disposition des consommateurs dans les restaurants, dans les grandes surfaces et dans les industries agro-alimentaires".
D’autant qu’il est reconnu aujourd’hui, a-t-il dit, par les organisations de santé que 60% des gènes pathogène chez les humains proviennent des animaux. Il importe a-t-il fait savoir, qu’une bonne prévention des maladies commence par les animaux avec les agents des services vétérinaires.
L’atelier qui est animé principalement par le Dr Boka Marcel, chef de département Santé Animale au ministère des Ressources Animales et Halieutique, s’achèvera samedi, après une phase pratique.
(AIP)
yy/tm
L’objectif de cet atelier de six jours, organisé par le PASA-HPV (Projet d’amélioration de la Santé animale et de l’hygiène publique vétérinaire), est d’outiller selon le coordonnateur du projet, Dr Dagnogo Komissiri, les agents travaillant sur le terrain à la reconnaissance des maladies, aux techniques de prélèvement de sang et de conditionnement des échantillons, afin d’avoir la réactivité nécessaire dans la lutte contre les maladies animales.
Outre la santé animale, l’hygiène publique vétérinaire figure en bonne place au tableau de cet atelier. Celle-ci consiste à protéger le consommateur à travers l’inspection de toutes les denrées mises à disposition dans le but d’éviter des contaminations et des intoxications.
Au dire du coordonnateur du PASA-HPV, "on l’ignore bien souvent, mais c’est aux vétérinaires que revient par une loi de 1996, le devoir de contrôler tout ce qui est denrée animale et d’origine animale mis à la disposition des consommateurs dans les restaurants, dans les grandes surfaces et dans les industries agro-alimentaires".
D’autant qu’il est reconnu aujourd’hui, a-t-il dit, par les organisations de santé que 60% des gènes pathogène chez les humains proviennent des animaux. Il importe a-t-il fait savoir, qu’une bonne prévention des maladies commence par les animaux avec les agents des services vétérinaires.
L’atelier qui est animé principalement par le Dr Boka Marcel, chef de département Santé Animale au ministère des Ressources Animales et Halieutique, s’achèvera samedi, après une phase pratique.
(AIP)
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