Gagnoa – La localité d’Onahio, à environ quatre kilomètres du chef-lieu de sous-préfecture Galébré (centre-ouest, région du Gôh), attend toujours la construction de sa seconde école primaire et des six logements de maîtres.
Le directeur de l’école primaire publique (EPP) 1, Ouattara Bakary, a confié à l’AIP, lors d’un entretien que les bâtiments de l’EPP 2 ainsi que les six logements pour les maîtres restent à construire pour permettre à cet établissement d’être un groupe scolaire.
"L’EPP 2 a été créée depuis 2008, mais jusqu’à ce jour, l’école n’est pas construite", a dit M. Ouattara, expliquant que son collègue de l’EPP2 et ses collaborateurs sont obligés de faire de la gymnastique pour permettre aux enfants inscrits dans cette école de fréquenter comme leurs camarades de la première école.
"Par manque de salles de classe, nous sommes obligés de regrouper deux classes en une. On a regroupé les classes de CP1 A et B, CP2 A et B, CE1 A et B et enfin CE2 A et B. Cette situation fait que nous retrouvons plus de 70 élèves par niveau, situation difficilement gérable pour les enseignants", a relevé M. Ouattara.
Selon lui, il y a aussi que les six maîtres de l’EPP 2 n’ont pas de logement depuis la création de l’école.
"Il faut donc en construire pour les mettre dans des bonnes conditions, à l’instar de leurs collègues de l’EPP 1 qui ont beaucoup plus de chance de se loger dans des logements décents", a-t-il affirmé, évoquant par ailleurs le besoin en tables-bancs du groupe scolaire évalué à environ 80 unités.
Le chef de l’établissement a souhaité que quelque chose soit fait pour les 350 élèves de ce groupe scolaire qui est également un centre d’examen.
(AIP)
Ja/kp
Le directeur de l’école primaire publique (EPP) 1, Ouattara Bakary, a confié à l’AIP, lors d’un entretien que les bâtiments de l’EPP 2 ainsi que les six logements pour les maîtres restent à construire pour permettre à cet établissement d’être un groupe scolaire.
"L’EPP 2 a été créée depuis 2008, mais jusqu’à ce jour, l’école n’est pas construite", a dit M. Ouattara, expliquant que son collègue de l’EPP2 et ses collaborateurs sont obligés de faire de la gymnastique pour permettre aux enfants inscrits dans cette école de fréquenter comme leurs camarades de la première école.
"Par manque de salles de classe, nous sommes obligés de regrouper deux classes en une. On a regroupé les classes de CP1 A et B, CP2 A et B, CE1 A et B et enfin CE2 A et B. Cette situation fait que nous retrouvons plus de 70 élèves par niveau, situation difficilement gérable pour les enseignants", a relevé M. Ouattara.
Selon lui, il y a aussi que les six maîtres de l’EPP 2 n’ont pas de logement depuis la création de l’école.
"Il faut donc en construire pour les mettre dans des bonnes conditions, à l’instar de leurs collègues de l’EPP 1 qui ont beaucoup plus de chance de se loger dans des logements décents", a-t-il affirmé, évoquant par ailleurs le besoin en tables-bancs du groupe scolaire évalué à environ 80 unités.
Le chef de l’établissement a souhaité que quelque chose soit fait pour les 350 élèves de ce groupe scolaire qui est également un centre d’examen.
(AIP)
Ja/kp
