Dakar (Sénégal), le secrétaire général sortant de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), Abdou Diouf a exprimé sa gratitude au Président sénégalais, Macky Sall, à tous les acteurs et réseaux institutionnels, professionnels, des femmes et des jeunes, entre autres, qui l’ont soutenu 11 ans durant à la tête de la communauté.
« Merci et au revoir à tout le monde, à la fin de ce mandat », a conclu Abdou Diouf qui a pris fonction à la tête de l’OIF le 1er janvier 2003, dans son discours à la cérémonie solennelle d’ouverture du XVe sommet de l’OIF, samedi au Centre international de conférences de Diamniadio (CICD).
Le XVe sommet de l’OIF va être marqué, dimanche, par l’élection du successeur d’Abdou Diouf qui sera choisi parmi les cinq candidats en lice.
« Ce sommet de Dakar n’est pas un sommet comme les autres… », a réitéré Abdou Diouf qui a entamé son discours en hommage à Léopold Sédar Senghor, qu’il a présenté comme le plus brillant des précurseurs et des francs-tireurs qui a fondé avec Habib Bourguiba et Hamani Diori, le projet de la Francophonie.
Abdou Diouf, 79 ans, a rendu aussi un hommage appuyé à Macky Sall, l’actuel Président du Sénégal, « ce grand pays, (sa) patrie, (son) pays de cœur et de sang ».
Il a dit avoir été « littéralement foudroyé, au bon sens du mot », par les remerciements de Macky Sall et surtout par l’annonce qu’il a faite dans son discours d’ouverture, de baptiser le CICD, « ce chef-d’œuvre d’architecture, majestueux », de l’appellation de Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD).
Par ailleurs, au terme de son mandat, Abdou Diouf a rappelé que les plus grandes menaces dans la communauté francophone ne sont pas seulement le terrorisme, le changement climatique et le virus Ebola, mais surtout l’indifférence, le manque de solidarité, l’égoïsme.
Il a prôné le respect de la diversité culturelle et la transcendance des divergences, en appelant à la solidarité vraie. L’OIF est en mesure de répondre, grâce à la force notamment de ses acteurs, ses réseaux institutionnels et professionnels, ses réseaux de femmes et de jeunes, aux différents défis.
Aussi, Abdou Diouf a-t-il exhorté les membres à donner à l’OIF plus de moyens pour lui permettre de contribuer à la renaissance de ce monde.
L’OIF compte 57 Etats membres et 20 pays observateurs, 274 millions de locuteurs à travers le monde et plus de 116 millions d’apprenants notamment en Afrique.
Le XVe sommet de l’OIF porte sur le thème central « Femmes et jeunes en Francophonie : vecteurs de paix, acteurs de développement ».
(AIP)
cmas
« Merci et au revoir à tout le monde, à la fin de ce mandat », a conclu Abdou Diouf qui a pris fonction à la tête de l’OIF le 1er janvier 2003, dans son discours à la cérémonie solennelle d’ouverture du XVe sommet de l’OIF, samedi au Centre international de conférences de Diamniadio (CICD).
Le XVe sommet de l’OIF va être marqué, dimanche, par l’élection du successeur d’Abdou Diouf qui sera choisi parmi les cinq candidats en lice.
« Ce sommet de Dakar n’est pas un sommet comme les autres… », a réitéré Abdou Diouf qui a entamé son discours en hommage à Léopold Sédar Senghor, qu’il a présenté comme le plus brillant des précurseurs et des francs-tireurs qui a fondé avec Habib Bourguiba et Hamani Diori, le projet de la Francophonie.
Abdou Diouf, 79 ans, a rendu aussi un hommage appuyé à Macky Sall, l’actuel Président du Sénégal, « ce grand pays, (sa) patrie, (son) pays de cœur et de sang ».
Il a dit avoir été « littéralement foudroyé, au bon sens du mot », par les remerciements de Macky Sall et surtout par l’annonce qu’il a faite dans son discours d’ouverture, de baptiser le CICD, « ce chef-d’œuvre d’architecture, majestueux », de l’appellation de Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD).
Par ailleurs, au terme de son mandat, Abdou Diouf a rappelé que les plus grandes menaces dans la communauté francophone ne sont pas seulement le terrorisme, le changement climatique et le virus Ebola, mais surtout l’indifférence, le manque de solidarité, l’égoïsme.
Il a prôné le respect de la diversité culturelle et la transcendance des divergences, en appelant à la solidarité vraie. L’OIF est en mesure de répondre, grâce à la force notamment de ses acteurs, ses réseaux institutionnels et professionnels, ses réseaux de femmes et de jeunes, aux différents défis.
Aussi, Abdou Diouf a-t-il exhorté les membres à donner à l’OIF plus de moyens pour lui permettre de contribuer à la renaissance de ce monde.
L’OIF compte 57 Etats membres et 20 pays observateurs, 274 millions de locuteurs à travers le monde et plus de 116 millions d’apprenants notamment en Afrique.
Le XVe sommet de l’OIF porte sur le thème central « Femmes et jeunes en Francophonie : vecteurs de paix, acteurs de développement ».
(AIP)
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