Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’honorable Bertin Konan Kouadio dit KKB a annoncé, vendredi, au cours d’une conférence de presse sa candidature à l’élection présidentielle ivoirienne d’octobre 2015.
M. Konan Kouadio explique sa candidature par sa volonté de « sauver » le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, ex-parti unique) dont-il est issu.
Quelques heures avant la conférence de KKB, la coordination des secrétaires de base du PDCI a annoncé le dépôt de la candidature de l'ex-ministre des affaires étrangères et cadre du PDCI, Essy Amara dans la perspective de cette élection présidentielle de 2015.
Le 17 septembre dernier au meeting de clôture de la visite d'Etat du président Alassane Ouattara dans la région de l'Iffou, le leader du PDCI, Henri Konan Bédié avait appelé au soutien de la candidature unique, au sein du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir), du chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara.
Cet appel historique, selon le Secrétaire exécutif du PDCI, Maurice Kacou Guikahué, a été accueilli «favorablement» par certains militants, d'autres l'ont « réfuté » pendant que d'autres encore voulaient «comprendre».
LS/APA
M. Konan Kouadio explique sa candidature par sa volonté de « sauver » le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI, ex-parti unique) dont-il est issu.
Quelques heures avant la conférence de KKB, la coordination des secrétaires de base du PDCI a annoncé le dépôt de la candidature de l'ex-ministre des affaires étrangères et cadre du PDCI, Essy Amara dans la perspective de cette élection présidentielle de 2015.
Le 17 septembre dernier au meeting de clôture de la visite d'Etat du président Alassane Ouattara dans la région de l'Iffou, le leader du PDCI, Henri Konan Bédié avait appelé au soutien de la candidature unique, au sein du Rassemblement des Houphouétistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir), du chef de l'Etat ivoirien Alassane Ouattara.
Cet appel historique, selon le Secrétaire exécutif du PDCI, Maurice Kacou Guikahué, a été accueilli «favorablement» par certains militants, d'autres l'ont « réfuté » pendant que d'autres encore voulaient «comprendre».
LS/APA
